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Episode 25 - Qui a tiré sur Mr Burns ? (Partie 1)

Démarré par The Simpsons Park, 26 Fév 2011, 12:20

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Dr. Nick

#15
Le machiavélisme de Burns à son apogée. Avec Grève à la centrale et Rosebud, cet épisode complète le trio de tête des meilleurs épisodes le concernant. Le scénario est l'un des meilleurs jamais écrits, audacieux et qui installe une certaine tension qui atteint son paroxysme lors du grand final, l'ambiance sombre est parfaitement adéquate (j'aime beaucoup les épisodes sombres en général), beaucoup de Springfieldiens sont utilisés et ce de belle manière et ils apportent tous des réactions hilarantes, et les gags sont vraiment nombreux, la réunion à la mairie en contient à elle seule une bonne dizaine, je raffole du "J'ai perdu mon bar!" de Moe suivi du "J'ai perdu son bar!" de Barney. :D
Un épisode marquant pour la série, qui ancre le début d'une enquête osée et captivante, vraiment, un bijou! 18/20
Ever danced with the devil in the pale moonlight ?

laverdure

j'ai juste une question ^^ que cache skinner avec sa main sur le titre du journal

Maurry Christmas!

Un épisode possédant une très bonne histoire et des gags hilarants bien sombres ! Mr. Burns est réellement à son meilleur en mélangeant à merveille son côté humoristique et son côté machiavélique. La fin est excellente, le meilleur cliffhanger de l'époque depuis Dallas !

Dundee



M. Burns, de loin l'homme le plus mesquin, le plus cruel, le plus machiavélique de toute l'histoire de la série, et cette fois sa cruauté atteint des sommets pratiquement jamais atteints auparavant ! Bien évidemment ça se termine mal : il se fait tirer dessus ! Alors pourquoi pas en profiter pour en faire une énigme à résoudre ?

Pour commencer, le scénario est écrit avec énormément de soin et de manière très intelligente. Pratiquement toutes les scènes servent à amener les personnages vers leurs raisons de tirer sur M. Burns et donc leur implication dans ce mystère. Du pétrole volé de l'école à la maison de retraite qui s'effondre en passant par le bar fermé, Smithers viré, le chien blessé, Burns qui oublie constamment le nom d'Homer, et surtout la goutte qui fait déborder le vase, son plan absolument dingue qui est de cacher le soleil.

Probablement l'une des choses les plus merveilleuses à propos de cet épisode c'est son atmosphère ; absolument pesante et intimidante, mais ceci bien sûr uniquement dans le but de servir l'histoire. Il y a également cet excellent climax, en particulier dans ce dernier acte carrément stressant.

Faire une liste des gags hilarants serait une tâche interminable, pratiquement chaque scène en a un paquet.

Donc oui, on se demande bien évidemment qui a bien pu faire le coup, pratiquement toute la ville a une bonne raison, mais pendant ce temps on nous a servi un épisode absolument phénoménal : 19/20
Mon classement de la série
Bonne année 2016 2017 2018 à tous !

Maurry Christmas!

Who Shot Mr Burns? (Part One): Super épisode ! Peut-être un tout petit peu trop forcé à mon goût, mais l'histoire était bonne et l'humour était là. J'ai même trouvé qu'en ''peu de temps'', les personnages étaient bien développé, ça aurait pu être bien pire pour un épisode avec une si grosse intrigue à la Dallas :P. Très bon épisode !

Maurry Christmas!


Ilario

La partie 1 est l'un de mes épisodes préférés, la seconde est légèrement en dessous que je noterais d'un point de moins. Tout comme AlexandreLeBlanc je vais critiquer les deux épisodes en même temps et faire un copier/coller de cette critique sur la seconde partie. Que dire de l'épisode autre que le scénario est incroyable, qu'on y voit un Burns tellement méchant et détestable qu'on l'adore car il joue son meilleur rôle, un Smithers qui craque, un Homer qui pète les plombs, Springfield qui pète les plombs en général (sauf Krusty qui revient de vacance, excellent gag par ailleurs) En parlant de gag, l'épisode en ai tellement rempli, la déduction de Chalmers "Quand j'ai entendu école et explosion j'ai directement pensé à Skinner" qui est à mourir de rire, Burns déguisé en Jimbo pour parlé à Skinner c'est également très drôle, toutes les scènes de la réunion à la mairie sont également à mourir de rire. A la fin de la partie 1, le suspens est à son comble, des paris d'argent IRL se joue pour savoir qui a vraiment tiré sur Mr.Burns, comme dit dans l'épisode "138eme épisode du jamais vu", deux fin d'histoire différente on était imaginé, une logique, Smithers tente de tué Burns après son renvoie alors que son boulot était toute sa vie, l'autre, Maggie, personnage le moins soupçonnable étant donné que le bébé parle pas. Quand j'ai vu l'épisode la première fois, jamais j'aurais soupçonné un instant Maggie, personne l'aurait soupçonné, c'est dommage car c'est une fin assez facile puisque si Waylon Smithers aurait été celui qui a tiré, la série aurait été bouleversé, du coup les réalisateurs ont joués l'option de facilité et c'est dommage. Après, comme l'épisode 138eme épisode du jamais vu l'a dit, deux fin possible on été imaginé, et la première fin aurait été plus cohérente. Malheureusement la seconde partie est en dessous d'une première partie que je considère comme un chef-d'oeuvre, la seconde (très réussi aussi) n'est pour moi pas un chef-d'oeuvre, un excellent épisode tout de même.

Première partie : 19/20
Seconde partie : 18/20

Lenny Bar

Épisode incontournable, un petit bijou de mise en scène, de rythme, de gags, d'ambiance... Rien n'est à jeter.
Les personnages mis en avant sont très nombreux, et Burns est absolument diaaaaaboliiiique ! La tension monte de plus en plus, et malgré ce climat très tendu, les gags sont nombreux et la plupart hilarants.
Le seul reproche que je ferai, c'est qu'on ne sait pas trop où l'on va avec cette histoire... bon, ok la 2ème partie est là pour ça, mais c'est parfois un peu confus.

Les gags : Willie qui dit que son père a été jeté dans la fosse septique, Burns qui mange tous les chocolats sauf celui où se trouve la tête d'Homer, Burns se faisant passer pour un enfant, Burns qui écrase la maquette de la centrale nucléaire, le "J'ai perdu son bar" de Barney, le "Et vouuuuuuuus ?" en nous pointant du doigt, etc.

Un grand must. Je lui donne la même note qu'avant : 19/20

Ilevan

#23
Sublime, de bout en bout. Et au niveau visuel déjà, ça envoie du lourd. Jeffrey Lynch est l'un des réalisateurs de folie qui ont bossé sur la série, et celui-ci doit être son second meilleur d'un point de vue réalisation (juste derrière Grand Père Simpson et le trésor maudit). L'épisode contient d'ailleurs l'une des plus belles séquences de la série, celle d'Homer taguant son nom dans le bureau de Burns

Et que dire du scénario..? C'est une pure merveille. Le build up est absolument fantastique, et au premier visionnage on est légitimement perdu tandis qu'aux autres on prend plaisir à regarder les détails laissés par les scénaristes et les animateurs dans l'épisode (les horloges par exemple, s/o le commentaire pour celui-là). C'est magistralement fait, sombre, inquiétant, prenant ; et en plus de ça c'est l'un des plus drôles de la série.
Tous les personnages ont leur moments de gloire. Celui qui brille est évidemment Burns qui, quand il n'est pas délicieusement machiavélique, est hilarant ("... depuis que j'ai été agressé par quelqu'un dont j'ignore le nom", le moment où il écrase les maquettes, "votre aplaventrisme"...). Homer est également l'un de ceux qui nous fait le plus rire (la scène où il rapporte le pli). Finalement, chaque personnage apparaissant à l'écran a droit à son bon gag ; celui s'en tirant le mieux à ce petit jeu étant évidemment Abraham.

Cette première partie arrive en plus à mélanger tous ses ingrédients pour nous servir un ensemble parfait, ce que la seconde partie aura un peu plus de mal à faire. Mais celle-ci mérite bien un 19/20

It goes Reggie, Jay-Z, 2Pac and Biggie
André from OutKast, Jada, Kurupt, Nas, and then me

Solarius

S6 E25 Qui a tiré sur monsieur Burns ? - Partie 1
Ah... Qui a tiré sur monsieur Burns ?... Un épisode mythique à juste titre, même si je préfère la première partie à la seconde. J'ai toujours adoré les dessins animés dont les histoires se déroulent sur deux épisodes ou plus. En s'affranchissant de la limite de temps, cela permet aux scénaristes de créer des histoires plus complètes, des enjeux plus grands, des péripéties plus impactantes, et un suspens d'autant plus excitant.

Et même si les Simpson est une série comique, cela ne l'empêche pas de retirer de ce procédé narratif les mêmes avantages qu'une série d'action comme Batman.
Ce qui m'a le plus marqué, c'est la montée en puissance de l'intrigue. La menace incarnée par Burns atteint des niveaux très élevés tout en restant progressive et acceptable, il y a donc une montée en puissance de l'intrigue plus développée que dans un épisode normal. Lorsqu'on arrive au milieu de l'épisode où Burns a détruit la maison de retraite, détruit la taverne et ruiné l'école, c'est généralement à peu près là que l'introduction du problème se termine et que les péripéties peuvent commencer. Mais comme c'est un épisode à deux parties, l'histoire nous surprend en nous montrant que ce n'était que le commencement. C'est cela qui créée cette sensation de graduation au fil de l'épisode.
Je pense d'ailleurs que c'est cette montée en puissance progressive qui permet au plan de Burns de marcher, car si il nous avait été présenté en début d'épisode, ça aurait été plus difficile pour nous d'y croire. Mais le plan de Burns est introduit comme un point culminant, un pas de plus sur le chemin de la folie, et c'est ça je pense qui le rend crédible. Le fait que même Smithers soit révolté par le machiavélisme de Burns rend cela encore plus crédible.

Et niveau scénario, c'est une réussite. La multitude de façons dont les Springfieldiens pâtissent des actions de Burns fourmille de bonnes idées, d'originalité et de logique. On peut remarquer que, si l'épisode est bourré d'humour, les motivations des springfieldiens (et donc les mobiles de crime potentiels) sont en revanche sérieux. Et c'est probablement aussi pour ça que l'épisode arrive à semer un tel suspens.
Autre illustration de cette ingéniosité dans l'écriture du scénario : Burns ruine Springfield à la fois au niveau global et au niveau personnel. Les citoyens ont donc à la fois des raisons globales et des raisons personnelles de lui en vouloir, et ça rend Burns « complètement » maléfique (s'il avait nui aux citoyens seulement de façon globale ou seulement de façon personnelle, ça aurait été moins marquant).

Et d'ailleurs en parlant de Burns, le personnage est génial. Il est véritablement au sommet de sa forme, et il réussit l'exploit d'être presque autant diabolique qu'il l'avait été dans les Cabanes des Horreurs où il avait incarné Frankenstein et Dracula. Et ça c'est vraiment pas mal, d'autant que son plan des Ténèbres Éternelles fait sens car il renvoie à son statut de chef de centrale nucléaire.
Burns est d'ailleurs l'un des rares personnages de fiction qui arrive à être à la fois drôle et maléfique. Bien sûr ça arrive que certains méchants soient présentés comme ridicules, mais là où l'écriture de Burns est remarquable, c'est qu'elle arrive à combiner ces deux aspects sans qu'ils ne s'annulent mutuellement.
Après tout, dans les séries d'action, il est de notoriété publique que seuls les meilleurs méchants ont droit à un épisode en deux parties, et quel meilleur méchant que Burns les Simpson ont-t-il à offrir ?

C'est aussi un épisode qui exploite beaucoup les personnages secondaires, mais qui surtout les exploite efficacement (ce qui est pas forcément le cas de tous). Même le gag final, où Hibbert brise à moitié le 4e mur, arrive à mêler suspens, humour et ambiance sombre.
Bref, super épisode. 19/20

Et ma citation préférée vient d'ailleurs d'un personnage secondraire :
CitationBarney : Ces vapeurs c'est pas aussi marrant que l'alcool. Bon, j'ai le vertige et envie de gerber, mais je me sens pas invincible comme quand je picole.
sort un pisotlet
Ah bah voilà maintenant je me sens à nouveau invincible !

Citation de: Laverdurej'ai juste une question ^^ que cache skinner avec sa main sur le titre du journal
Il cache le mot « awful ». En français, le titre de l'article est « une horrible école devient horriblement riche », et Skinner cache donc l'adjectif « horrible » associé à son école ^^

Masta

Un classique qui mérite bien sa réputation. Si le début me fait juste sourire, ça va de mieux en mieux au fil de l'épisode. Chaque scène de Burns est drôle, son machiavélisme cartoonesque est irrésistible et les réactions que ça entraîne sont tout aussi délectables. Plein de répliques qui font mouche au point que je me refuse de citer les meilleures, je ne saurais départager. Mon moment préféré reste Homer qui hurle "Enc.." jusqu'à alerter toute la ville (+ la réaction de Flanders), ce genre de gags m'écroule toujours :D

Et d'un point de vue narratif, c'est très bien mené avec chacun ayant une raison plus ou moins tangible d'en vouloir à Burns et une tension qui monte jusqu'au fameux cliffhanger. "Excellent" en effet.

18,5/20

Egnouth

#26
Je remet ma critique :

Quel épisode , l'un des trois (bientôt 4) épisodes en 2 parties , et quel épisode !! Des gags hilarant , Burns n'a jamais été aussi cruel , et quel plaisir ! Je retiens surtout les moments a la mairie qui sont ultra drôle , la pression qui monte dans la ville , bref un plaisir absolu ! Et le plus réussi je pense de tous les épisodes niveau intrigue , suspens et action , bref un MUST de la série , on se demande qui a tiré sur Mr.Burns (même si on le sait tous hein) bref , un chef-d'oeuvre ! 16/20 (j'aurai mis 17 avant)
Vive la nourriture le foot et les Simpson, je vais un jour faire ma liste complète des épisodes , PROMIS [spoiler](normalement)[/spoiler] ABONNEZ VOUS A MA CHAINE YOUTUBE EN ATTENDANT : https://www.youtube.com/channel/UCpofJKHO9awWXmy3fUjUZ0w , il me reste encore 189 caractères , je vais donc raconter ma vie a partir d'ici , la j'vais bien j'ai de bonnes notes en ce moment , ma famille va très bien , y compris mes animaux , BONNE JOURNEE LES BEAU GOSSE