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Sujet cinéma

Démarré par stef, 3 Mar 2011, 19:35

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Léo Pard

Soirée Lino Ventura tout à l'heure sur France 3 avec Les Grandes Gueules puis La métamorphose des cloportes. :) Le premier sera également l'occasion de retrouver Bourvil.

Sam Szlack

Citation de: Maurice le 25 Oct 2012, 12:05
Le plus violent Marvel Zombie selon moi c'est quand des méchants capture Capitaine América et Howard the duck et ils sont servent de stande de tir.

Pour moi, ce n'est pas ultra violent mais un moment brutal, il y a quand Wolverine perd son bras et brûle.... Io y a aussi quand Spidey dévore Rhino dans le match de hockey.

Maurry Christmas!

Citation de: Sam Szyslak le 26 Oct 2012, 06:29
Citation de: Maurice le 25 Oct 2012, 12:05
Le plus violent Marvel Zombie selon moi c'est quand des méchants capture Capitaine América et Howard the duck et ils sont servent de stande de tir.

Pour moi, ce n'est pas ultra violent mais un moment brutal, il y a quand Wolverine perd son bras et brûle.... Io y a aussi quand Spidey dévore Rhino dans le match de hockey.

Ah oui, j'avais oublié ces scènes là, ça aussi ça fait parti des scènes très violentes.

paolo98

En revoyant Les aventures de Tintin - Les secret de la licorne sur Canal+, j'ai repensé à un film qu'on ira voir en janvier je crois, au cinéma avec le collège. Et ce film en question, c'est un film de Spielberg, Duel en l'occurence. C'est pour ça que j'y ai pensé en voyant Tintin ^^
J'aimerais avoir quelques avis de HJS ou des autres :)

H_2_B

Aujourd'hui, journée enfin à peut prêt tranquille dans la vie d'un étudiant en communication. Que faire ? Aller au cinoche en attendant le cours de droit des médias, pardi. Mais une fois là-bas, qu'allez voir ? Et là, ça nous revient en voyant une affiche dans le cinéma. Notre cher professeur de radio a réalisé et joué dans un film et comme on aime déjà beaucoup bonhomme qu'on connait fort bien dans l'école (ainsi qu'un autre comédien du film), le choix fût sans appel : on est allé voir Dead Man Talking

S'il fallait bien un truc pour me forcer à aller voir un cinéma d'auteur belge, c'est bien une figure que je connais. J'ai déjà dit que n'importe quel film avec Jim Carrey, j'allais le voir. Ici, c'est en voyant la bouille de Patrick Ridremont qu'on a foncé dans la salle numéro 1. On avait entendu les critiques du film qui avait été plus que dithyrambiques, les prix remportés dans les différentes villes du pays, le bouches-à-oreilles extrêmement positif... J'avoue, j'avais peur d'être déçu. Je ne vais pas faire planer le mystère inutilement, ce film est un pur bijou.

De quoi ça parle ? William Lamers a été condamné pour double homicide volontaire à la peine de mort par injection létale. 20 h 00, soir de son exécution, il lui est accordé le droit de dire quelques mots avant de passer de vie à trépas. Mais une faille dans la loi ne précise pas combien de temps peut parler un condamner avant son exécution. C'est alors que William va parler. Encore et encore, ne pouvant être exécuté tant qu'il n'a pas fini. L'histoire de cet homme qui jour après jour tente de gagner un sursis va intéresser les petites gens mais également un gouverneur qui va se servir de cette "attraction" pour s'attirer les voies de ses électeurs.

Dead man talking est un film très difficile a définir. On parle souvent du surréalisme à la belge, une sorte de melting-pot des genres comme ceux qui ont fait C'est arrivé près de chez vous. Ce mélange de drame et de comédie avec un soin accordé aux personnages et à leurs histoire ordinaires qui deviennent extraordinaires. Voilà comment définir ce film. Un mélange des genres. Le sujet est lourd, la réalisation est appuyé, les couleurs de la prison sont ternes et les personnages malsains. Et pourtant, on se trouve à rire de l'idiotie du gouverneur où tout simplement du ridicule de la situation qu'une simple faille dans un texte de loi produit. La réalisation se vaudra dès lors plus légère, les couleurs plus chatoyantes, les personnages gagneront peu à peu en sympathie jusqu'à ne plus vouloir les quitter.

Dead man talking vous fera passer du rire aux larmes (et je suis très difficilement touché par ce que je vois en général sur le grand écran) avec au final un sentiment de joie. Celui d'avoir assister à un vrai film fait par un passionné qui a fait mijoter cette idée dans sa tête depuis 15 ans et qui ne l'a pas sortie avant d'être sûr que ça allait être parfait. Et tout est parfait. Les thèmes abordés et la manière dont les différents protagonistes vont se remettre en question suite aux quelques moments qu'ils auront passé avec l'homme-mort qui parle. L'humour également qui marche à tous les coups, servant à alléger un film qui aurait pu être étouffant. Ça commence par un meurtre sous la pluie avant d'enchainer avec le soir de l'exécution dans la prison la plus glauque imaginable. S'il n'y a pas un peu d'humour, on se tire une balle avant la fin de la séance. Et c'est la justesse qui fait que cet humour fonctionne si bien. Faire un film sincère ne peut fonctionner que si on s'entoure gens qu'on apprécie énormément.

Et il s'est fait plaisir le Patrick. Tout d'abord, parlons de lui-même. Champion du monde d'improvisation, auteur de capsules humoristiques, voix-off que "tout le monde reconnait mais que personne ne connait" (les belges, tendez l'oreille, une pub sur deux à la radio, c'est lui) et acteur de théâtre. Avec un tel bagage, je n'avais pas peur de savoir s'il allait être ou non dans ce rôle. Ce n'était donc pas une surprise de voir qu'il pouvait jouer aussi bien. Ce qui m'a surpris par contre, c'est d'apprendre qu'il maîtrisait très bien l'art du drame comme de la comédie. C'est lui le fameux Dead man talking, un homme qui maitrise l'art du monologue et de l'émotion.

On enchaîne avec les "potes". Olivier Leborgne, chroniqueur radio, acteur, auteur et également voix-off, c'est le meilleur ami de Patrick Ridremont depuis l'école. Il joue ici un expert en loi, celui qui trouvera la faille a exploité et conseiller du gouverneur. Look ringard et air bougon, le simple fait de le voir fait rire. Ensuite vient Virginie Effira, ex-femme de Patrick. Pas besoin de la présenter aux Français étant donné qu'elle est un peu plus connu, elle incarne ici une femme froide, conseillère en communication du gouverneur. C'est un peu la méchante du film. Elle n'inspire aucune sympathie, elle fait froid dans le dos. Tout du long du film, son air austère et pincé lui confère une aura déplaisante. Et Effira prouve qu'elle peut-être à l'aise dans ce genre de rôle à contre emploie. Ensuite, Jean-Luc Couchard. Comédien belge que nos amis Français ont sans doute déjà aperçu, il est le gouverneur. C'est l'atout comique du film, il représente tout ce qui ne va pas en politique. Il est bête, ne sait pas trop ce qu'il en est de toute l'histoire mais il est manipulé par ses conseillers pour être élu et n'être qu'une victoire en plus à ajouter à leur palmarès. Enfin, Denis MPunga est Julius, le gardien de prison qui s'éprend de sympathie pour William. Homme au cœur tendre, il représente selon moi le spectateur. Celui qui aime Williams et qui ne veut pas le voir mourir, l'impuissant face à une situation bien au-dessus de son rôle de gardien qu'il va devoir s'évertuer à garder et ce, même si c'est difficile pour lui.

Autour de ces belges, voici que s'ajoutent deux idoles de Ridremont qu'il voulait à tout prix faire jouer dans son film. François Berléand, le directeur de la prison. Blasé, rétrogradé pour une raison obscure, il veut juste que son travail soit terminé pour rentrer dans ses pénates. C'est un homme qui a perdu la petite flemme qui faisait qu'il se réveillait tous les matins et qui a u fur et à mesure et à travers l'histoire de William, réapprendra à vivre. Ici, l'interprétation de Berléand est excellente (mais tous les comédiens du film le sont de toute façon). Malgré la gravitude du personnages, ses interactions avec les autres font rire de même que ses manières je m'en foutistes. Un personnage qu'on aurait aimé détester mais ce n'est jamais vraiment le cas.

Et enfin, dans le rôle de l'aumônier, pour ce qui restera son dernier rôle, Christian Marin. Venu procurer les derniers sacrement à William, on voit un prêtre un peu tête en l'air, très attachant de par son côté taquin et toujours animé par cette petite lueur dans l'œil de Marin qui montre à quel point il s'amuse dans ce film. L'aumônier est drôle parce que Marin y est juste. Et la boucle est bouclée avec cette justesse dont je vous parlais.

J'aimerais vous parler du film plus en détails comme je l'ai fait pour d'autres. Vraiment j'aimerais. Mais ce serait vous gâcher ce spectacle splendide, cette fable d'un homme qui n'était que du vide et qui a eu la chance, l'espace de quelques instants volés, de devenir quelqu'un. Un homme qui n'aurait jamais pu croire que sa vie qui semblait normale pour lui allait toucher un pays entier. Un homme qui rêve juste d'une liberté et qui raconte pourquoi ça n'a jamais pu se faire. Et une fois le film fini, avec le monologue final de William bouleversant de beauté, vous ressortirez malgré tout de ce spectacle qui semblait ai début triste avec un sourire aux lèvres. Content d'avoir pu vivre aux côté de William une partie de son existence et d'avoir été les témoins d'une véritable leçon de vie menée d'une main de maître.

Un grand grand bravo à Patrick Ridremont pour son rêve devenu réalité et pour le succès plus que mérité de son film. Et je finirais en disant : Vivement le DVD !  

The Reg

Merci pour la critique. J'étais un peu surpris au départ de voir que c'était un film belge quand j'ai vu que ça parlait d'un double condamné à mort par injection létale, je me suis demandé un temps si ça ne se passait pas aux USA. Je sais que la fonction de gouverneur existe en Belgique mais la peine de mort y est toujours en vigueur ?

Au rang des acteurs que tu as cité, je ne connais que Francois Berléand, je suis allé voir qui était Jean-Luc Couchard et je ne l'ai vu que dans un film, qui malheureusement est cette daube intergalactique de Taxi 4, mais je vois sa tête du coup.

Malheureusement, le film n'est pas dispo dans mes contrées. Peut-être à Paris, mais ça fait loin.

CitationMalgré la gravitude
Merci Ségolène. ;D

H_2_B

Citation de: Regismo le 27 Oct 2012, 09:24
Merci pour la critique. J'étais un peu surpris au départ de voir que c'était un film belge quand j'ai vu que ça parlait d'un double condamné à mort par injection létale, je me suis demandé un temps si ça ne se passait pas aux USA. Je sais que la fonction de gouverneur existe en Belgique mais la peine de mort y est toujours en vigueur ?


C'est vrai que les unités de lieu et de temps portent à confusion. Le film est bien belge mais les fonctions de gouverneurs ne sont pas aussi importantes que ce qui est décrit dans le film, la peine de mort n'existe plus chez nous depuis près de 20 ans, les noms des personnages font tantôt américains (Raven) tantôt français (Lacroix), espagnols (Lopez) et belges (Lamers)... De même, l'époque décrite ne semble pas très récente aux vues des styles vestimentaires, des voitures et télévisions. Je ne peux pas te dire où ça se passe ni quand ça se passe et je pense que c'est fait exprès. Le fait de ne pas ancrer le film à une époque ou un lieu précis rend l'identification aux personnages plus facile.

Citation de: Regismo le 27 Oct 2012, 09:24
Au rang des acteurs que tu as cité, je ne connais que Francois Berléand, je suis allé voir qui était Jean-Luc Couchard et je ne l'ai vu que dans un film, qui malheureusement est cette daube intergalactique de Taxi 4, mais je vois sa tête du coup.


Tu ne connaissais pas Christian Marin ? Les chevaliers du ciel ou la série des "Gendarme" ? Jean-Luc Couchard, c'est vrai que sa filmographie n'est pas des plus reluisante et en voyant le rôle qu'il a ici, je me demande s'il sait jouer autre chose que le comique. Ça aurait été une erreur de lui donner un rôle sérieux je pense mais pour le gouverneur, il est parfait.

Citation de: Regismo le 27 Oct 2012, 09:24
Malheureusement, le film n'est pas dispo dans mes contrées. Peut-être à Paris, mais ça fait loin.

Il me semble avoir lu qu'il sortirait en mars 2013 mais c'est à vérifier. Le truc, c'est qu'un film belge s'exporte difficilement à l'étranger. Peut-être pourra-t-on compter sur les noms de François Berléand et Chistian Marin pour avoir une couverture de salles assez honnête. En tout cas, si dans les mois qui viennent, tu vois que le film apparait dans une salle à proximité de chez toi, fonce !

Citation de: Regismo le 27 Oct 2012, 09:24

CitationMalgré la gravitude
Merci Ségolène. ;D

Je me disait bien en l'écrivant qu'il y avait un truc qui clochait avec ce mot ;D

The Reg

OK merci pour les précisions sur la Gelbique.

Si je vois très bien Christian Marin mais je pensais que c'était un homonyme car j'avais entendu qu'il était mort, et c'est en effet le cas. Mais en allant vérifier, ça ne fait que deux mois, donc c'est logique.

CitationEn tout cas, si dans les mois qui viennent, tu vois que le film apparait dans une salle à proximité de chez toi, fonce !
Je le fera, promis ! ;)

CitationJe me disait bien en l'écrivant qu'il y avait un truc qui clochait avec ce mot ;D
Gravité ça suffit.  :)

Statham17

Affiche Die HARD  5




homey



Statham17

Taken 2 : Je l'ai vu aujourd'hui et franchement il est vraiment bon, j'apprécie de plus en plus Liam Neeson :) . Ce film est meilleur que le meilleur opus car déjà plus d'action, toujours d'aussi bon acteurs et de bonne musique ainsi qu'un très beau générique de début :) .

Histoire :

[spoiler]Les kidnappeur de Kim que Bryan à tué sont vengé par leur père . Bryan participe à une mission de garde du corps  Istanbul. Il demande à son ex femme de venir avec Kim ( puisque, elle avec son mari vont divorcer ) . Toute les 2 le rejoint à Istanbul mais malheureusement le père des kidnappeur tué par Bryan veut lui à son tour re-kidnapper Kim mais aussi Bryan et Lenore ( sa femme ) .

Il y arrive ( sauf pour Kim ) mais Bryan à plus d'un tour dans son sac, il arrive à s'évader en guidant Kim qui elle est saine et sauve dehors ( pendant que Lenore et Bryan sont enfermés ) . Bryan demande à Kim de lancer des grenades dans la villes pour qu'il puisse entendre le son pour savoir ou il se trouve .Comment peut-il le savoir ? Quand il se font Kidnapper Bryan voit la montre de son ravisseur, il compte dans sa tête les seconde de la trotteuse de la montre et donc quand il s'arrête ou qu'il entend un bruit suspect il c'est à quel seconde ce moment appartient .

Kim le retrouve et lui donne un revolver par un conduit de cheminée, malheureusement elle est poursuivit mais son père remonte sur les toits et tue son ravisseur .

Lenore est blessé ( gravement ) donc Bryan la laisse ( là ou il étaient ) va chercher Kim, veut retrouver Lenore mais elle se fait remmener en voiture.

Kim et Bryan son poursuivit en voiture mais s'en sortent et décide d'aller a l'ambassade américaine, donc Kim est en sécurité . Bryan repare pour trouver Lenore, il al retrouve et tue tout ceux qui sont sur son passage et donc remonte au boss et donc au père des kidnappeur du 1er opus .

Il décide de ne pas le tuer à condition que le père renonce à Bryan ( Bryan pose son pistolet ( il la déchargé mais le père ne le sait pas ) ) . Du coup le père dit oui mais reprend le pistolet de Bryan pour le tuer malheureusement il se rend compte qu'il n'y a plus de balles et Bryan l'entend " tirer " et donc se retourne et plante le père sur un porte manteau .[/spoiler]

Dans ce film o a de bons acteurs :

Liam Neeson : Parfait pour son rôle . Tout comme Famke janssen et Maggie Grace ( très mignogne :) )

Bonne musique, bon générique de début, bon combats .

Bref bon film qui mérite d'être vu , mieux que le 1er :)

Note = 17/20


Cletus Scorpio

C'est fou, a chaque fois que je lis ou entends "Taken 2", je ne peux pas m'empêcher de penser a ça:


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Je suis le seul ?  :D

Ma superbe signature avec les meilleures repliques d'Hank Scorpio est partie en sucette, donc souvenez-vous des meilleures répliques d'Hank Scorpio et riez en mon hommage