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Sujet cinéma

Démarré par stef, 3 Mar 2011, 19:35

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The Reg

Citation de: Chris503 le 14 Fév 2016, 17:34
J'espère que le nouveau sera excellent, sinon c'est l'argent perdu pour rien.. en tout cas ils ont bien vieilli !
Tu trouves ? ???

ChrisPlayer24

Moi je trouve qu'ils ont bien vieilli oui !  :o Frank Dubosc dans ce film arfff..

Dr. Nick

#9062
J'ai vu un autre OAV de Batman ce soir puisque ça faisait un petit moment et j'ai choisi Year One (2011). A la base je voulais tenter Gotham Knight sur une suggestion de Maurice mais j'ai choisi celui-ci parce que j'ai emprunté le DVD à la médiathèque de mon quartier.

Bref concernant le film je ne pourrais pas juger le côté adaptation n'ayant pas lu le comic (c'est pas faute d'avoir envie pourtant) ceci dit au final dans ma tête ça a fait à la fin un "ça va sans plus". J'ai apprécié le fait que les événements se concentrent surtout autour de Jim Gordon (marrant de savoir Bryan Cranston dans la VO, en VF on a sa voix habituelle depuis la série de 92) qui a quand même une situation assez pesante, le pauvre, on suit également Batman dans sa première année en tant que bienfaiteur de Gotham City et ça marche bien. L'ambiance est cool comme toujours, l'action est efficace...

Mais j'émets des réserves notamment sur le fait que le film soit archi court. Il dépasse à peine l'heure avec le générique de fin, et du coup l'histoire et surtout la complicité entre Gordon et Batman me semble expédiée à la va-vite. Et surtout les personnages secondaires sont vraiment transparents. Catwoman ne sert quasi à rien, Harvey j'avais complètement zappé sa présence... En gros je pense que le film aurait pu être mieux si il avait été plus développé.

Toujours est-il que j'ai apprécié cet OAV, mais il ne va pas me marquer pour autant.
Ever danced with the devil in the pale moonlight ?

The Reg

J'ai vu Préparez vos mouchoirs (1978) avec Depardieu, Patrick Dewaere et Michel Serrault, aujourd'hui. C'était... euh... bizarre.

Depuis le début c'était relativement bizarre, sur la fin c'était carrément bizarre. Je n'ai pas détesté étrangement alors que c'était quand même assez perché. [spoiler]La femme de Depardieu a perdu le sourire donc il propose comme ça, spontanément, à un inconnu (joué par Dewaere) de la sauter pour qu'elle retrouve le sourire... il le fait pas mais les 2 gars deviennent potes quand même, puis plus tard alors qu'elle tricote à poil (elle fait souvent ça) ils deviennent aussi amis avec Serrault comme ça d'un claquement de doigts. En tout cas, elle a apparemment besoin d'avoir un môme mais elle ne parvient pas à tomber enceinte donc ils deviennent tous moniteurs d'une colonie de vacances et là elle s'amourache d'un gamin de 13 ans surdoué et comme il aime pas ses parents, à la fin de la colo elle le kidnappe avec Gégé et Dewaere mais seuls ces deux là vont en taule, les parents sont pas d'accord mais le père la santé dépérit et la femme devient amnésique, et apparemment le gamin parvient à engrosser la femme de Gégé, il l'annonce à son père pas plus surpris que ça et...[/spoiler] oh et puis merde, c'est trop con.

Springfield83

/!\ Cet avis contient des divulgâcheurs /!\
Deadpool de Tim Miller (2016)

Le vilain petit canard des supers-héros de l'écurie Marvel a enfin le droit à son propre film et apporte son petit plus aux films de supers-héros. En effet, Deadpool amène avec lui un univers plus trash, mais pourtant pas absent de second-degré, qui tranche avec les autres films de super-héros parfois trop édulcorés. J'ai apprécié ce film, j'ai pris mon pied comme l'affiche me l'avait promis mais je dois admettre qu'il subsiste de légers problèmes notamment au niveau de la réalisation me concernant. Bon, Deadpool c'est l'histoire d'un ex-militaire qui souffre d'un cancer et qui, pour se soigner, va subir des expériences pour le moins douteuse d'un point de vue légal et qui va finir, dans l'une d'elles, par attraper des pouvoirs de régénération mais les mauvaises expériences subies et les effets secondaires subis vont le pousser à retrouver son ancien «chirurgien».

Une certaine originalité vient de la narration dans ce film. En effet l'histoire principale, celle de la vengeance établie par Deadpool est entrecoupée par trois grandes phases présentant l'évolution du personnage. Ce choix est judicieux parce que poser en un bloc les origines du héros aurait été lourd et lassant voire désespérant par rapport à ce que l'on nous promettait. Ainsi avec le découpage choisi on rentre directement dans l'action et on assiste à des scènes de combat assez prenantes. Et après cette forte entrée en matière Deadpool lui-même nous propose de retourner à ce qui l'a amené à affronter des individus armés sur un pont et c'est seulement à cet instant que le spectateur se pose la question tant il était diverti par le début du film sans s'interroger sur la quelconque nature de ce rendez-vous. Les trois phases présentent trois moments différents dans la vie de Wade Wilson : la première présente le personnage dans son environnement avec ses occupations, ses connaissances et sa rencontre avec la femme de sa vie ; la deuxième, quant à elle, s'attarde sur l'élément déclencheur de l'histoire : le cancer de Wilson ; la troisième et dernière phase raconte ses expériences cliniques et sa mutation.

Ce qui marque chez Deadpool c'est avant tout son humour noir et décapant, le protagoniste s'en prend à tout le monde et notamment aux X-Men comme Wolverine. Il arrive même en fin de film à fustiger la morale universelle partagée par tous les supers-héros, et délivrée ici par Colossus, en une balle, preuve qu'il est différent du stéréotype super-héroïque. Deadpool est irrévérencieux et tout le monde en prend pour son grade, il a des piques à lancer pour tout et n'importe quoi comme, par exemple, aux schémas classiques des films de super-héros voire des films tout court comme lorsque son ami lui précise d'aller voir une certaine personne parce que cela pourrait « faire avancer l'intrigue » comme si les personnages étaient conscients de faire partie intégrante d'un film. Son excentricité est prouvée à de multiples reprises lorsqu'il s'exprime face-caméra de manière tout à fait spontanée, brisant ainsi le quatrième mur et permettant un rapport plus intime avec le spectateur. Deadpool est un amuseur public qui divertit et détend dans un monde où la violence est globalisée. La violence est omniprésente dans l'univers du film comme elle l'est dans le monde réel et la proximité des deux mondes rend le tout plus plaisant à voir. Au fond, Wade Wilson est un raté puisqu'il finit dans un repère où vivent les rebuts de l'humanité et également un homme qui a peur, peur de perdre sa petit-amie et sa vie confortable et qui doute de la récupérer une fois «défiguré». Mais lorsqu'il devient Deadpool et met son costume il ose beaucoup plus de fulgurances et son humour reprend le dessus. Et c'est ce qui fait la force de cet anti-héros, il est plus humain que la plupart des autres super-héros.  Dans une certaine mesure il ne peut que nous rappeler Dave Lizewski dans Kick-Ass qui à sa manière était un raté et qui, à force d'y croire, est devenu un héros. Même si évidemment les deux personnages ont des intérêts et des enjeux très différents.

Au-delà du personnage principal, le film laisse s'exprimer, avant tout, ceux qu'on entend pas ou peu : allant des exclus de la société qui se regroupent dans des bars peu fréquentables aux minorités ethniques parce que précisément parmi les personnages secondaires on a un personnage d'origine indienne et une femme afro-américaine. Et toutes ces personnes qui vivent dans la pauvreté ont une arme pour s'en extirper : l'humour. Parce qu'en effet, il n'y a pas que Deadpool, tous les autres personnages provenant de milieux sociaux défavorisés balancent des répliques savoureuses, pleines d'humour et faisant écho, et référence, à divers éléments de la pop-culture.

Cela dit, le film reste classique dans sa réalisation malgré un plan figé au début du film permettant un générique très drôle. Cela peut se comprendre par le fait que Tim Miller réalise ici son premier film et qu'en tant que Yes-Man, il n'apporte pas sa propre patte et son propre style mais se permet simplement de remplir le cahier des charges d'une bonne adaptation Deadpool (à ce que j'en ai ouï dire puisque je n'ai jamais lu de comics Deadpool mais il y a un certain consensus à ce sujet). Il a donc accouché d'une œuvre plus libre d'un point de vue artistique mais pas pour autant visuellement plus intéressante. De plus l'histoire reste très classique et tout l'originalité vient de la manière dont elle est traitée et de ses dialogues qui empêchent un ennui inévitable dans d'autres cas. La meilleure idée de Deadpool a ainsi été de faire le choix de la vulgarité, et donc de la restriction d'âge, qui apparaît comme la force principale du film. D'un point de vue plus personnel, certains moments sont tout de même très, voire trop, crus. Je citerai par exemple la scène où le nom de « Francis », l'ennemi de Deadpool, est écrit avec des cadavres dont l'un d'eux est décapité les fesses en l'air. Et je trouve aussi que l'humour et la vulgarité de Deadpool dans les scènes d'action ne permettent pas de travailler tant que ça les combats là où la direction artistique dans Kingsman, à titre de comparaison, est excellente.

En conclusion, Deadpool est un film de super-héros rafraîchissant par bien des aspects et bien plus fun et dynamique que d'autres films du genre sortis récemment (comme Ant-Man qui se voulait plus  « second-degré » que ses prédécesseurs). Il n'est pas parfait mais arrive à divertir largement le temps d'une séance et comme écrit sur l'affiche : on prend son pied.

Maurry Christmas!

Après tout ce temps que j'ai repoussé mon revisionnage du film à cause de mon frère, je me suis regardé avec mon frère Kill Bill 1, et comme toujours, je l'ai absolument adoré. Et avec mon frère qui apprend (et qui se débrouille pas mal) le japonais, l'expérience était d'autant plus cool. Hâte de revoir le deuxième avec lui, mais le connaissant, ça sera en Mars ^^

simpsonsbart

J'ai enfin vu Zootopie. Je vous le dis tout de suite, comme le dirait River Song: Spoilers!

J'ai d'abord cru que l'on s'était trompés de salle, car un groupe d'enfants est venu présenter le jury de films qu'ils ont vu, puis le film a commencé... [spoiler]J'avais mis un peu de temps avant de me mettre dans le film, mais... Je l'ai tout simplement adoré. Et truffé de gags:

- Le nombre de frères et soeurs de Judy
- Judy aux toilettes "T'es morte!"
- Le nombre d'habitants de la ville qui ne cesse d'augmenter
- Le chef qui s'en fout et qui est énervé
- Judy qui se met un PV
- Le camp de naturistes
- Le passage avec les paresseux
- Les loups qui hurlent
- Judy et Nick qui passent par les toilettes
- La diversion au musée
- Le gag final avec Flash le paresseux qui est un chauffard

Pour ce citer qu'eux. Il y en a d'autres.

Et comme Vice versa, il y a des passages avec de l'émotion: les prédateurs sont montrés du doigt et Judy s'en veut. Après avoir découvert ce qui faisait que les prédateurs retrouvaient leur instinct primitif, elle convainc à Nick de refaire équipe avec elle. Et à la fin, Nick devient flic à son tour.[/spoiler]


J'ai le syndrome d'Asperger, ce qui explique pourquoi j'ai des intérêts intenses envers certaines choses, notamment envers Otto, personnage dont je ne suis pourtant pas fan.

Je compare ma situation d'attente d'un nouvel épisode sur Otto à Une grosse tuile pour un toit.

Alex0821

#9067
J'ai décidé de me remettre aujourd'hui aux Hitch avec Correspondant 17 et je dois dire que j'ai bien aimé. :) Le contexte du film est assez spécial puisque tout en touchant un sujet d'époque, je me suis senti concerné et touché par le message, voire les messages que nous délivrent le film, même à l'époque actuelle. Rapidement le personnage principal nous est présenté. C'est ainsi que débute une aventure de vie pour un journaliste ayant un fort caractère. Toutes les péripéties que celui-ci ainsi que la charmante dame qui l'accompagne promettent d'être la source de scènes riches en suspense ainsi qu'en émotion. (la fin ne manque pas de piquant, elle est géniale !) [spoiler]avec l'avion qui s'écrase ainsi que les bons effets spéciaux pour l'époque, c'est très prometteur et agréable à voir[/spoiler]

Je suis donc à 20 films Hitchcock visionnés... Et pour l'instant, il demeure parfait. AUCUN de ces 20 films ci-dessous ne m'ont déplu, à la limite, les deux derniers qui se trouvent à la fin de mon classement m'ont laissé indifférent, mais quand même, ça prouve juste à quel point j'adhère à Hitch. 8)

Mon classement : (avec quelques modifications par rapport à l'ancienne version de février 2016)

1. Psychose "Psycho"
2. Fenêtre sur cour "Rear Window"
3. Le crime était presque parfait "Dial M for Murder"
4. La mort aux trousses "North by Northwest"
5. Sueurs froides "Vertigo"
6. La Corde "Rope"
7. Les Oiseaux "The Birds"
8. Rebecca "Rebecca"
9. Les enchaînés "Notorious"
10. L'inconnu du Nord-Express "Strangers on a Train"
11. L'Ombre d'un doute "Shadow of a Doubt"
12. Une femme disparaît "The Lady Vanishes"
13. Jeune et Innocent "Young And Innocent"
14. Les 39 marches "39 Steps"
15. Correspondant 17 "Foreign Correspondant"
16. La maison du docteur Edwardes "Spellbound"
17. Le faux coupable "The Wrong Man"
18. La main au collet "To Catch A Thief"
19. L'homme qui en savait trop "The Man Who Knew Too Much"
20. La loi du silence "I Confess"

Maurry Christmas!

Je viens de revoir The Incredible Hulk et je l'ai trouvé bien. Pas génial, ni comparable au premier (littéralement, les deux films sont tellement différent...), mais certains beaucoup étaient amusants et les scènes d'actions étaient jouissives. Par contre, certains bout n'avait pas de sens. Ce que j'ai le plus aimé du film c'est Mr. Blue, il est super ! Vraiment dommage qu'on ne voit pas la meilleure partie de son histoire, et avec Ruffalo on ne le verra surement pas.

The Phenom

The Dark Half (1993)

Thad Beaumont est un professeur et surtout, un auteur respecté. Sauf que pour l'argent, il écrit sous un pseudonyme d'horribles romans extrêmement violents sous le nom de George Stark. Beaumont en a assez, veut mettre ce secret agaçant au grand jour après avoir reçu des menaces de chantage à ce sujet. Il décide donc de ''tuer'' George Stark dans un évènement promotionnel. Le problème... Le photographe meurt et le suspect principal s'avère, Thad. Ce dernier se rend peu à peu compte que son alter-ego prend beaucoup plus de place dans sa vie qu'il ne le pense.

On oublie parfois Romero quand il n'y a pas de zombie. Son Dark-Half, adapté d'un roman de Stephen King n'a rien d'un classique du genre, mais il s'avère une solide adaptation qui met en lumière l'excellent jeu d'acteur de Timothy Hutton qui joue un double rôle. On ne sait pas grands choses sur cet alter-ego, encore moins d'où il vient, mais on lui réserve les meilleures scènes et surtout une excellente confrontation finale avec une des mises à mort les plus dégoûtantes que j'ai pu voir.  Même si ce n'est pas un film de zombies, ça reste du Romero et on reconnait son style là-dessus. Quelques éléments pas trop logiques sont disséminés ici et là, comme ce foutu policier, qui menace continuellement le personnage principal de l'arrêter, mais ne fait rien alors que tous les indices sont là. Néanmoins, c'est un film agréable, même si un peu trop statique et bavard. Au moins, on sent une rigueur de la mise en scène et un excellent travail pour l'atmosphère. Si vous êtes fans de Romero, ce film est pour vous.

Maurry Christmas!

Je l'avais dit sur le tchat, mais j'ai revu en [spoiler]streaming :o[/spoiler] le nouveau Deadpool, et je l'ai, encore une fois, beaucoup aimé. Un film qui ne se prend pas au sérieux avec un personnage totalement looney tunes, c'était vraiment bien à regarder. Film hilarant rempli d'easter eggs qui reprend parfaitement l'univers du comics. Pas parfait, mais très bien. Hâte de voir la suite.

Maurry Christmas!

En classe, on a regardé Valkyrie. C'était un film qui raconté une histoire très intéressante et qui l'a raconté bien. J'étais septique à l'idée de voir Cruise dans le film, mais il était bien correct dans le film, à noter qui s'était drôle de le voir sans main. Le truc qui m'a marqué, d'une manière positive et négative, c'est le fait que l'opération se soit passé si vite. C'était réellement prenant, mais d'un autre côté, [spoiler]on a pas eu assez de développement pour voir que au final, c'était une défaite, donc la finale m'a laissé marbre[/spoiler]. Je dois dire qu'a plusieurs reprises, je me suis demandé pourquoi n'ont t-il pas agit de tel manière, mais bon. C'était une bonne histoire bien conté, donc j'ai pas vraiment à me plaindre, bon film.

The Reg

J'ai découvert Star Trek, le film (1979). Il faut dire que, si ce n'est tous les gags et toutes les références qu'ont fait les Simpson ou Futurama, je connaissais plutôt mal l'univers de Star Trek. De plus les échos que j'en avais étaient qu'il était trop long pour ce qu'il proposait. Et... on ne peut pas dire que ce soit faux. 15 minutes de moins ne lui auraient pas fait de mal. Surtout un passage en particulier, interminable, qui rappelle les heures les plus sombres de 2001, l'Odyssée de l'espace. Heureusement à côté il se passe des trucs, et je dois dire avoir été plutôt happé par l'ambiance. J'ai apprécié des personnages que je découvrais, j'ai apprécié visuellement, j'ai apprécié la musique, j'ai apprécié les dialogues... Ses défauts malheureusement sont là et je dois rendre un verdict positif, assez pour avoir envie de voir le II, mais pas ultra positif.

J'ai aussi découvert un film avec Chuck Norris, Delta Force. Mais osef de ça. ;D

Lenny Bar

#9073
J'ai découvert Star Trek, le film (1979). Il faut dire que, si ce n'est tous les gags et toutes les références qu'ont fait les Simpson ou Futurama, je connaissais plutôt mal l'univers de Star Trek. De plus les échos que j'en avais étaient qu'il était trop long pour ce qu'il proposait. Et... on ne peut pas dire que ce soit faux. 15 minutes de moins ne lui auraient pas fait de mal. Surtout un passage en particulier, interminable, qui rappelle les heures les plus sombres de 2001, l'Odyssée de l'espace. Heureusement à côté il se passe des trucs, et je dois dire avoir été plutôt happé par l'ambiance. J'ai apprécié des personnages que je découvrais, j'ai apprécié visuellement, j'ai apprécié la musique, j'ai apprécié les dialogues... Ses défauts malheureusement sont là et je dois rendre un verdict positif, assez pour avoir envie de voir le II, mais pas ultra positif.

Ben quoi ?... J'ai découvert le film il y a quelque semaines et je pense exactement la même chose que toi... j'allais donc pas me fatiguer à écrire mon avis !
Je ne connaissais pratiquement rien à l'univers de Star Trek et le film m'a bien plu, à part ce fameux passage silencieux qui dure 7h32. Sinon visuelement très beau, personnages sympa, histoire originale... pas le film du siècle mais bien mieux que ce que j'attendais.

The Reg

Je m'attendais à ce que tu copies mon avis pour le film avec Chuck Norris, je suis drôlement déçu ! :( On fait tous deux partie de LACNE oui ou non ?