[Tony.]

J'ai déjà vu le 1 et j'ai vraiment bien aimé.
Mais le deux, jamais vu.

[homer vs new york]

Désolé si je ne te fais pas plaisir , mais je pense que ce film est une véritable " bouse " , je lui ai donné d'ailleurs 5/20 par respect à Scooby-Doo 

Ok,pas grave,c'est ton choix et je le respecte,sinon qu'es-qu'il ta fait Scooby-Doo ?
Sinon,moi,je le trouves bien fait,la qualité des graphismes sont plutôt bien,les monstres sont bien fait,mais c'est sur homer vs new york que t'approuve pas la même chose aussi par la différence déjà c'est sur que,moi 12 ans et toi 23,on a pas la même mentalité 

Ce n'est pas un problème d'âge , moi j'ai vu Pulp Fiction et Scarface à 12 ans !!
Pourtant le premier Scooby-Doo m'avait plu ( quand j'avais 8 ans ! ), et même à 11-12 ans il me plaisait ( juste un peu ..) , et maintenant je lui donne un bon petit 8/20 

Même à mon âge j'aime regarder des trucs enfantin ( par exemple je donne 15 à Bob l'éponge - Le Film ) , mais ce film ne m'a pas plus c'est tout , il est mauvais   

[American Dad]

Oui,c'est sur qu'il ets génial le film de Bb l'éponge sinon,si vous ne l'avez jamais vue voici + de renseignement sur le film de bob l'éponge :

Histoire :

A Bikini Bottom, quelqu'un a volé la couronne du roi Neptune, et le patron de Bob l'éponge, M. Krabs, figure en tête des suspects. Convaincus de son innocence, Bob et Patrick partent pour Shell City avec l'intention de le disculper et de restituer sa couronne à Neptune.

[AlexandreLeblanc]

J'ai déjà vu Scooby doo 2 et c'est vrais qu'il est bien mais ça fait tellement longtemps

[homer vs new york]

Si je me souviens bien , Scooby Doo 2 a été récompensé par un Razzie Award 

[The Reg]

Pourtant le premier Scooby-Doo m'avait plu ( quand j'avais 8 ans ! ), et même à 11-12 ans il me plaisait ( juste un peu ..) , et maintenant je lui donne un bon petit 8/20 

Tu dois confondre, le premier scooby-doo est sorti en 2002, or si tu as mon âge...

[homer vs new york]

Je parlais du premier film de  Scooby Doo ( avant il y'avait rien que des téléfilms ) il s'agit de : Scooby-Doo sur l'île aux zombies    ( je crois qu'il avait été réalisé par un japonais ? )

[The Reg]

D'accord.   Sinon, j'avais déjà parlé de mes chroniques sur le sport auto. Depuis janvier 2006 j'en ai fait 115 à durée très variable (jusqu'à 25 pages). Elles sont à prendre au 2e degré, impartiales, malpolies. Si je me permets d'en mettre une ici (sortie en 2007) c'est parce que j'avais fait celle-ci sur les films de sport auto. Je l'ai légèrement raccourcie (car je donne à un moment des détails connus des fans seulement) et je la poste en deux fois à cause de la limite de caractères :

Formule Daube : Partie 1

Il existe un type de films assez méconnu, les films de course ou de sport automobile. Style méconnu, car malheureusement beaucoup sont de la pure daube. En fait, pour ces films, il y a une chose qui ne varie pas : Il ne peut pas y avoir d'histoire, en fait. A croire que le scénario est écrit après la sortie du film... ou même jamais, oui.

Commençons donc par les films sur les bagnoles, pas de sport auto. Je fais d'avance mes excuses au cinéma pour qualifier de « films » ces choses. Je pense à la saga « Fast and Furious » ou « Taxi ». Ne cherchons pas, pour le second cité, c'est Luc Besson qui a fait le... scénario ? Non, doit y'avoir erreur, je l'ai dit au-dessus. Alors maintenant, aimer à 10 ou 11 ans ok, mais aimer à plus de 16 ans, faut être un sacré gros beauf.

Le sujet ? Un chauffeur de Taxi qui fonce dans les rues et qui ridiculise les flics (et oui c'est bien connu, les flics c'est plus bête que les mômes qui adorent regarder ces films) et roule avec une voiture ultra rapide grâce au tunning, qui va plus vite le TGV... Valable aussi pour Fast and Furious grosso modo mais avec quelques variantes.

On ne peut pas dire que les français soient très intelligents dans ces films, mais tout de même, dans chaque Taxi ce sont des étrangers les méchants. Des Allemands en Mercedes, puis des Japonais, encore des Japonais, et enfin des Belges. (Nation ridicule pour des méchants, le Japon ça fait bien plus mystérieux) Remarque, vu comme les personnages sont développés... En gros : Les hommes sont toujours plus abrutis et les femmes montrent leur cul... Surtout pas d'intellect, c'est des films qui passeront en prime time sur TF1, ne l'oublions pas, la même chaîne qui a recruté Jacques Laffite comme commentateur. Le pire c'est Taxi 4 où il y a une poursuite de 45 secondes, le reste, ça ne parle que de foot.

Je pourrais dire beaucoup de choses sur ces films, mais si vous le voulez bien, on va continuer vers des films de mieux en mieux... Enfin, si on peut parler de mieux avec le film « Driven », sorti en 2001. Stallone, pendant 3 ans, avait arpenté les paddocks de F1 avec l'idée de faire un film dessus. On est passé à côté de la catastrophe les amis ! Mais il n'a pas pu à cause du grand argentier Ecclestone qui demandait des tarifs exorbitants.

Sly s'est donc rabattu sur le championnat américain CART, à bout de souffle à l'époque donc pas cher. Le scenar est pas trop compliqué, pour pas effrayer le spectateur : Un tit jeune pilote monte et fout la pression au champion. Mais devant cette même pression le jeunot commence à craquer à son tour. Donc ils appellent l'ancien pilote, joué par Sly, pour remettre le jeune dans le droit chemin, qui tente de nous faire oublier qu'il a 55 piges. Bien sûr, le vieux doit faire bander son monde dès le départ pour prouver sa valeur :

Alors, suivez-moi bien, il fait un petit show en essais privés où il fout trois pièces sur la route, et avec la roue arrière en faisant une cabriole, il doit harponner les trois pièces. Son secret ? « Il fredonne pour se détendre ». En résumé il voit les pièces à 250 km/h (bonne vue) son patron le laisse faire une cabriole pour un essai alors qu'il n'a pas pris le volant depuis des années et pour finir les pièces sont incrustées dans le pneu. Elles sont balaises les pièces américaines quand même : Elles pèsent pas plus de 10 grammes mais le déplacement d'air d'une caisse ne les a même pas fait bouger. Les Euros ils seraient déjà à des centaines de mètres.

Enfin je ne reviens pas là-dessus, nous voici donc au week-end de course suivant où il retrouve le champion en titre qui lui en veut beaucoup car dans le passé ils ont eu des accros. Il rencontre aussi une jolie journaliste, et on ne se doute même pas qu'elle va finir par baiser avec quelqu'un avant la fin du film. Il faut bien boucher les trous entre les courses, il y a des scènes ou Stallone et la greluche fricotent, un peu de tendresse dans ce monde de brutes. Je préfère ne pas vous citer de dialogue, c'est trop violent !

Et la course arrive, l'occasion de découvrir des accidents qui font visiblement crées par ordinateur. Et là... il va falloir être clair, je vous explique :Le champion talonne le petit jeune, Jimmy, équipier de Sly. Le boss fait rentrer Stallone, retarde son arrêt, le fait sortir des stands avec un tour de retard, pour qu'il s'intercale PILE POIL entre le petit jeune et le champion, pour retarder ce dernier. Précision millimétrique, quel professionnalisme ! Après une course sur ovale où le petit jeune a perdu le contrôle : Moment dramatique intense juste après, il joue a un jeu vidéo et se plante au même endroit. La symbolique de cette situation nous prends aux tripes.

Bon, et le petit jeune a aussi des états d'âme, quand il sent que sa petit amie lui échappe, lors d'une soirée de gala, il pique une voiture de course d'exposition, et s'enfuit avec à toute vitesse dans la ville bondée de monde. Résultat, Sly monte dans la bagnole pour le suivre et s'engage une poursuite dans la ville. Les bagnoles roulent si vite qu'avec le vent qu'elles provoquent, elles cassent les vitres des abribus et soulèvent les jupes des filles. Mais pour rappel, les pièces de monnaies elles, restent bien sur la route.

Et bien entendu la scène où les deux ont des soucis avec la fédération a été coupé au montage ! Pourquoi auraient-ils des problèmes avec les autorités, c'est vrai, ils n'ont rien fait de mal. Oh, et bien entendu, les voitures d'expositions sont prêtes à courir, et on leur met toujours un peu d'essence en plus ! Là encore c'est un pilote qui l'a pris, mais dès fois que n'importe quel clodo présent soit tenter d'aller faire un tour au clair de lune. Notons également que les mecs qui ont adapté le DVD en France n'y connaissent rien, si vous regardez les chapitres (le DVD se trouve encore, incroyable) la scène en question est titrée : « En F1 dans la ville ».

Arrive une course sous la pluie bien sûr, et l'indispensable énorme accident. Et voilà qu'une voiture à cause d'un gros choc passe par-dessus les grillages de protection et arrive dans un lac, pas de chance, non content de risquer la noyade, l'essence se répand ça va explosé, donc les pilotes impliqués dans ce terrible accident sortent de leur voiture et sauvent le pilote. Chose que je ne supporte plus quelque film à suspense que ce soit : Au tout dernier moment, comme par hasard...

Bref, tout le monde s'en sort, tout le monde est content, mais dans la salle de ciné, tout le monde s'en fout. Car ce truc a quand même fait plus de 300 000 entrées en france, oui madame !

En tout cas nous voici à la dernière course décisive pour le championnat. Qui va gagner ? Le champion en titre sympa mais que personne n'a envie de voir gagner, ou le petit jeune sans lequel Sly aura passé tout un film à bosser pour des prunes ? Coup de théâtre ! Le patron du petit jeune, pas très content, le vire ! Va t-il le reprendre pour la course finale ? Suspense... Et oui ! Quel retournement de situation !

Avant la dernière course, une musique émouvante nous montre les gentils pilotes de l'Amérique bien sous tout rapport, emmener leurs mômes à l'école, ou réfléchir à leur course. Petite chose sympa, on à l'occasion de voir Juan Pablo Montoya dans ce film, pensif... Que peut-il penser lors de ce tournage à la mi-2000 ? « Ai-je bien fait de signer chez Williams ? » ou encore « Ai-je bien fait d'apparaître dans cette bouse ? ». Ce qui lui ressemblerait le plus c'est de savoir si le McDo sera encore ouvert après la course, mais passons.

Zut alors, le jeune et Sly partent dans les derniers sur la grille et le champion dans les premiers. Bon, la vraie surprise serait : Le petit jeune et Sly sont OUT dès les premières secondes et le générique arrive une minute après. Malheureusement non, les deux font une course d'équipe et prennent leurs adversaires en tenaille pour remonter, ils y parviennent. Et là, indication sur le gagnant du championnat, si peu probable : Stallone fredonne. Et si il fredonne, ça veut tout dire...

Alors, il sort un beau couplet à son jeune ami (oui car il est relié par radio avec lui) « pilote parce que c'est ta vraie passion, blablabla ». En fait, il a copié/collé les phrases des Rocky et remplacé le mot « boxe » par le mot « pilote » et « Appollo Creed » par « Jimmy Bly ». Là, il y a une bataille en piste invraisemblable avec des dépassements forts douteux dans la réalité, mais bon, on est plus à ça prêt. Et finalement, c'est le petit jeune qui gagne !

Et dire qu'en 2003 j'ai acheté ce DVD, ignorant tout de ce film, et quelles horreurs j'allais y voir... pourtant, j'ai réussi à le refourguer plus tard à un gus pour 2 euros ! Quel crétin ! Ce film vaut donc pour voir Montoya quelques secondes et... euh... film suivant. En l'occurrence : Michel Vaillant maintenant... certaines scènes font étonnement penser à Driven, et de surcroît, c'est Luc Besson qui nous a pondu ça.

Il n'a pas du réaliser que tout l'univers de Michel Vaillant passait sans problème en BD, mais en film, non, ça ne passe pas...

Partie 2 en dessous.

[The Reg]

Partie 2

On commence donc par la mère de Michel qui fait un vilain cauchemar. Elle rêve que son fils se fait tuer au Mans contre une Leader (l'écurie concurrente de Vaillante) au N°13, à cause d'un terrible accident et sa caisse qui explose. Et une fois réveillée, elle crie encore « Michel est dans les flammes ». C'est bien connu qu'une fois réveillé après un cauchemar, on croît toujours que c'est vrai, plusieurs secondes après. Personnellement, ça m'est déjà arrivé de me rendre compte que je cauchemardai avant même de me reveiller.

La môman inquiète appelle son fils qui n'a rien d'autre à foutre que de parler sur un lac gelé en pleine nuit avec un vieil indien qui radote. Je précise que l'appel est passé en pleine nuit en France, que Michel est au Canada et que là-bas, c'est tôt le matin... mais si il n'y avait que ça. Michel la rassure : Il ne participe pas au Mans et Leader n'y sera pas. Ha ben ça va, le film est fini ! A moins que...

Passons sur l'interprétation des acteurs en général, peu convaincants du début à la fin.  Voici Michel et son meilleur pote Steve Warson dans un Rallye au Canada, qui se frottent au vilain méchant Bob Cramer : Très vilain, il menace David, un petit jeune qui l'a gêné lors de l'épreuve. « Si je retrouve sur ma route je te bute ». Félon ! (Excusez ces insultes de malotru) Michel gagne le Rallye, et toute la clique se retrouve à la maison familiale des Vaillant.

Là, surprise ! Peugeot (Peugeot et Total, généreux partenaires du film) a appelé le père Vaillant, leur moteur sera prêt dans quelques mois, tout juste pour Le Mans, donc ils y vont ! Évidemment de nos jours, pour monter une équipe prête à aller gagner Le Mans, on peut s'y prendre 5 mois avant, en Janvier. « Ha vous avez le moteur que vous pensez être probablement rôdé pour la mi-Juin, avec un peu de chance ? Bon ok je vais créer le châssis et monter toute l'équipe d'ici là, tranquille ! On va gagner ! »

Peu après, nouvelle surprise ! Ruth, fille de l'ancien patron de l'écurie Leader annonce leur retour au Mans, avec la voiture 13. Et comme dans la BD, c'est une pétasse. On retrouve les gentils dans un autre Rallye, le petit David se plante car le méchant Cramer a saboté sa caisse. C'était pour rigoler, mais du coup sa voiture explose. Mort... pleurs... enterrement... triste...

Entre en scène la femme de David (pilote elle aussi) qui va voir le frère de Michel qui est patron de l'écurie Vaillante, elle veut le volant de son mari pour le Mans. L'occasion de voir de fort belles photos du frère qui est un ancien pilote, dans sa voiture. On verra aussi la fille du leader qui pose juste avec son père sur un circuit, et toutes ces photos sont clairement de magnifiques montages. On se demande ce qui les empêchait de faire des vraies photos !

On continue donc avec une pub pour McDo (vous voyez que ça ressemble à Driven) et Michel qui crâne auprès de la femme de David en disant pouvoir faire un tour au Mans les yeux fermés. Il lui demande de mettre ses mains devant ses yeux, de juste lui annoncer les panneaux 100, et il commence à faire le tour du circuit sans rien voir ! Sans même parler de réalisme, les assurances seraient ravies de savoir ça ! Ho, et bien entendu, le circuit Bugatti du Mans est ouvert à n'importe qui la nuit.

Mais on n'a pas fini dans l'énorme : On arrive aux qualifications où l'employée de la fille du leader tire au fusil sur le camion qui transporte les voitures Vaillantes qui vont participer au Mans. Le camion est accidenté sur l'autoroute. Oui : Les camions n'ont pas encore amenées les voitures jusqu'au circuit le jour des qualifications ! Les vérifications techniques, les essais privés, on ne sait pas ce qu'elles sont devenues ! Mieux : Comme il reste peu de temps avant la fin des qualifs, Michel et Steve vont chercher les voitures eux-mêmes.

Et les voilà qui repartent sur l'autoroute, à fond avec leurs voitures de course !
Du Driven dans le texte, mais en plus ils s'arrêtent à une station service (avec une pub « TOTAL » de 20 mètres de haut des fois qu'on l'a loupe) pour refaire le plein ! Les protos peuvent donner leur pleine mesure avec du sans plomb 95, c'est bon à savoir ! En plus Michel dit au gars de la station « C'est une urgence, le pilote de l'hélico va venir vous payer » et PAF ils repartent. En plus, si il y a certes un hélico qui suit les voitures, si il n'était pas venu payer, le gars de la station service il se serait bien fait couillonner !

Les protos arrivent juste à temps, à 3 secondes de la fin du chrono, ouf. 3 secondes, pas une. J'imagine que le réalisateur a eu un bref sursaut de réalisme « Ça fera moins faux si je les fais arriver 3 secondes avant et non pas à la dernière seconde ! » Surtout qu'il nous fera le coup plus tard, mais j'y reviendrai. Trois précisions s'imposent : De nos jours il faut avoir bouclé 10 tours de qualifications et non un. La première partie des qualifs s'achève à la tombée de la nuit, là c'est le jour. Enfin, Michel et Steve n'ont aucun problème avec les autorités pour leur cavalcade sur la route.

Au point où on en est, on peut aussi avoir l'employée de la vilaine fille du leader qui va saboter les pneus de l'écurie Vaillante. Une course poursuite s'engage entre elle et Steve sur le circuit durant la 2e qualif. Ils traversent la piste. Pour changer, Steve n'a aucun problème avec la direction du circuit. Du coup on monte encore d'un cran dans l'invraisemblable :

La fille du leader capture et menace de tuer le père Vaillant si l'écurie Vaillante gagne la course ! On n'y croît pas une seconde d'accord, mais le pire c'est que ce n'est pas fini : Dans la course, commence un jeu de chaise musicale, ou les pilotes passent leur temps à s'échanger les baquets, un pilote blessé chez Leader, Michel le remplace sous la menace, mais du coup, dans sa propre écurie il est remplacé par la femme de David, mais Steve s'en mêle, etc...  

Arrive évidemment le fameux accident du rêve de la mère de Michel qui s'envole (en 1999 une voiture s'est vraiment envolée comme ça au Mans) qui prend feu et explose. Mais encore une fois ils s'en sortent au tout dernier moment. Michel et Steve parviennent à délivrer le papa Vaillant. Donc ils peuvent à nouveau piloter au maximum, et comme par hasard, le dernier pneu mis à la Vaillant est celui qui a été saboté plus tôt dans le film.

Et dans le dernier tour, alors que la Leader est en tête mais que la Vaillante est à deux secondes... la Vaillante crève, la Leader surchauffe et s'arrête à 10 mètres de la ligne ! C'est trop con quand même. Du coup, le méchant sort et pousse sa voiture, mais la Vaillante revient. Le suspense est total et pas prévisible du tout. Et la Vaillante passe la ligne avec 5 millimètres d'avance !

Mais voilà le gros coup de théâtre pour surprendre le spectateur et lui donner l'impression qu'il n'a pas foutu 8 euros totalement en l'air (je m'en fous j'avais une place gratuite à l'époque, ha ha !) Steve, touché par une balle en délivrant le papa Vaillant, était en fait remplacé dans le baquet par Michel. En forme le Michel : Il s'est levé à l'aube le Samedi, il a piloté bien 20 heures, n'a pas dormi, a affronté une explosion, une fusillade, mais il pète le feu à la fin ! BREF ! Voilà le bilan de cette œuvre... à voir quelques belles images de courses, mais c'est dur de définir qui de Driven ou qui de Michel Vaillant est le plus ridicule.

Bon, dans la série « Pas génial question histoire mais un peu moins con que les films précités » il y a aussi « Jour de tonnerre » avec Tom Cruise. Un film de 1990, purement américain, avec de sacrées musiques très patriotiques et de sacrés dialogues. Bon, tu as Cruise et un autre gars qui a un moment louent deux caisses et se tamponnent comme des malades en plein centre ville sans avoir de soucis avec la justice... on commence à avoir l'habitude. Notons aussi qu'ils sont très excités par la simple prononciation du nom Richard Petty.

Question course c'est pas mal quoique très exagéré. Question scénario c'est super classique. Machin est un ancien concepteur de voiture qui s'est retiré et qu'on rappelle pour lancer une équipe et un pilote prometteur. Tu as aussi Nicole Kidman là-dedans qui joue un toubib alors qu'elle avait 22 ans au moment du tournage, à part ça... Le miracle vient de la VF, je ne dis pas que c'est parfait, mais il n'y a pas trop d'erreurs de traductions, et pourtant, avec les anglicismes connus surtout des fans, on aurait pu croire que le gus à la traduction se soit planté mais finalement, c'est correct.

Il y a aussi eu quelques autres films comme Ricky Bobby, une comédie stupide sur la Nascar mais au moins c'était volontaire. Ou bien Cars, un dessin animé de très bonne qualité. Outre le fait que j'ai adoré ce dernier, un dessin animé c'est plus dur de critiquer le réalisme. Mais passons alors aux vieux films de sports mécaniques. Tel Le film Grand Prix qui date de 1967, avec Yves Montand.

Sur le championnat de Formule 1 de l'époque. Un long film de près de 3 heures, peut-être un peu monotone parfois (pour ne pas dire chiant) mais au moins, de qualité. On commence fort, par un Grand prix de F1 à Monaco, le Monaco de l'époque avec les voitures de l'époque, le démarrage est fort intéressant. C'est après que c'est un peu longuet, même si ça reste bon. Il y a une histoire en fait, un peu basique mais pas bâclée. Et nous aurons le droit à une course sur l'ancien circuit de SPA, et à un final d'anthologie sur l'ancien Monza. Les choses sont plus sobres, plus simples, plus rudes et authentiques. Du à l'époque sans doute, où les morts sur les circuits étaient monnaie courante.

On finit en apothéose avec le film Le Mans qui date de 1970, avec le fameux Steve McQueen. Alors ce film se passe au Mans à... euh... 100%. Et à 99% sur le circuit. Malgré une vague histoire, on est plus proche du documentaire finalement. Et ce n'est pas plus mal. Les dialogues sont peu nombreux, on a de nombreuses minutes blanches, sans un seul mot de quiconque. J'imagine l'acteur :

-   Je joue dans 17 scènes de ce film !
-   Ha, t'as beaucoup de répliques ?
-   Deux.

Ça fait du bien de voir une course claire et nette de plusieurs minutes d'affilée à diverses reprises, avec de longs plans et juste le bruit des moteurs. De nos jours, on a le droit aux montages « cool » où les plans défilent à une vitesse astronomique, le son des moteurs pas génial, de la techno pourrie en fond et un commentateur qui ne cesse de parler. Là, les mots sont vraiment rares. Mais le dialogue le plus marquant de l'histoire du cinéma est tout de même dans ce film :

-   Michael, fais pas de conneries.
-   Et toi ne deviens pas casse couilles Erich !

Sinon, le rush final est excellent. Les fans de sport autos sont presque tous unanimes en le voyant, c'est remarquable, on sent parfois l'adrénaline monter. Et si le final se joue encore pour quelques instants, ce n'est pas pour 5 millimètres cette fois, pas de méchants ou de gentils, ce n'est pas celui à qui on pourrait penser qui gagne la course, et bien entendu, l'époque est féerique, les voitures sont envoûtantes...

Quant aux accidents, merci à l'absence du numérique, ils font réels car ils sont réels. Mais voilà, je peux vous assurer que les personnes non fans de sport auto ne verront pas l'intérêt de ce film, car il y a trop de course et trop peu d'histoire... à croire que les personnes qui n'aiment pas la course préfèrent une histoire de merde à peu d'histoire ! Du coup, ce sont les meilleurs films sur lesquels on aurait le moins de choses à dire car on passerait son temps à encenser.

Au point où on en est, je crois qu'il faudrait faire un film normal au départ, PUIS insérer les courses. Et non pas penser à « comment faire les courses », puis boucher les trous avec des histoires bidons.

[homey]

Regismo!!!
Là tu t'est surpassé!!

[Charles Montgomery Burns]

Critique très appréciable, en effet, même si je te trouve un peu dur parfois (et quel langage ) mais faut dire que tu n'as pas tout à fait tort, généralement, les films de courses ne sont pas extraordinairement développés coté scénar.

[homer vs new york]

Vraiment trés bien construis , chapeau Regismo  

[H_2_B]

Excellent Régis, vraiment excellent. Bon, je ne suis pas un fan de sports automobiles et par extension je ne regarde les films qui traitent du sujet que si on m'en a fait un compte rendu appréciable du coup je n'ai vu aucun des films que tu critiques (bon sauf les Taxi mais bon j'étais jeune et j'ai fait des conneries comme tout le monde)

Le problème que tu soulève avec ces films est le même que nous retrouvons dans la plupart des films traitant d'un sport à savoir que le côté sportif est traité de manière à vouloir donner du spectacle que le côté réaliste en pâti. Seulement c'est pardonnable parce que justement si je regarde un film je ne m'attend pas à ce que tout soit absolument possible dans la vraie vie comme les passages de Driven que tu as passés en revue. Je n'ai pas vu le film mais lorsque tu décris la scène où Stallone se place entre le jeune et le champion, je me dis que si ça n'avait pas été le cas et que Stallone n'arrive pas à rattraper le retard ça aurait fait.. bizarre.

C'est comme les films de Rocky qu'on avait légèrement évoquer dans ce topic, même si les combats de boxes ne semblent pas réalistes c'est un mal pour un bien sinon le côté divertissement du film n'aurait pas aussi bien marché, à ce moment là autant regarder un vrai match de boxe comme ça en plus on a pas à supporter en plus les histoires des personnages (ne vous méprenez pas, j'aime bien les Rocky).

Tout ça pour dire qu'en tant que spectateur d'un film, il faut parfois accepter ce genres de liberté et ne pas chercher la petite bête car les films sont avant tout là pour le divertissement et non pas, à moins que le réalisateur ne le veuille, retranscrire parfaitement la réalité. C'est comme ceux qui critiquent les Star Wars parce qu'on entend des bruits dans l'espace alors qu'avec l'absence d'air on est sensé ne rien entendre.

Bon, j'avoue que je parle un peu sans savoir étant donné que je n'ai pas vu les 3 films que tu as critiqués et que donc je ne sais pas à quel point les scènes sont irréalistes car c'est vrai que si c'est vraiment trop gros alors le film peut rapidement passer pour une mauvaise parodie.

[homer vs new york]

Exact , si le film en fait trop il passera pour un " nanar " 

Sinon je viens de voir " Five Fingers " un film traitant sur le terrorisme  ( encore un )

Film à éviter absolument , je lui donne un bon 5/20 , vraiment ce film est une grosse daube 

Je ne peux pas le critiquer , car ce film n'a pas de qualités il n'a que des défauts 

Évitez ce film , même si il ne reste plus que ce film dans le monde 

[Charles Montgomery Burns]

Je ne peux pas le critiquer , car ce film n'a pas de qualités il n'a que des défauts 

Pourtant, c'est justement dans les films et épisodes bidons que que j'ai le plus d'inspiration pour écrire une critique :

Tout comme Lenny Bar vient de le faire et de terminer sa tournée, j'ai bien envie de me lancer également dans une critique/notation de la saison 22.

Je commence par cet épisode (surprenant) et je dois avouer que c'est pas des plus reluisants...

Répétitif, ennuyeux, et surtout un peu vide, les épisodes musicaux ne sont pas forcément les meilleurs, pour ne pas dire les pires selon moi, je n'ai par exemple contrairement à H_2_B pas aimé du tout la scène du feu de camp, je la trouve juste bof, la musique, sans musique, coupé par des dialogues faiblards et inutiles, la vache qui parle, c'est pour moi le bouquet, et pire Stephen Hawking... carrément la cerise sur le gâteau.

Les premières apparitions de Hawking étaient sympa tout comme l'est celle dans Futurama soi-disant passant, mais j'ai l'impression que les scénaristes font de plus en plus une fixation sur ce personnage, j'ai déjà trois apparitions dans la tête pour l'instant (il est bien possible qu'il n'y en ait plus corrigez-moi s'il le faut, et au fouet !) et ça n'est pas la meilleure, à force de le réutiliser, il devient inintéressant et ses apparitions sont d'autant plus absurdes et infondés je n'aime pas du tout voir ça dans les Simpson.

Bon voilà pour la petite parenthèse concernant cette guest, mais pour en revenir à l'épisode, tiens en parlant de guest, et bien si l'on ne m'avait pas dit que l'on pouvait voir/entendre des acteurs de Glee, perso, j'aurais pas fait la différence, et à la limite ça ne m'a fait ni chaud ni froid de le savoir. Par contre, leur prestation, elle, est très mauvaise. Non seulement j'ai l'impression que ça sonne faux, mais en plus, c'est poussé à l'extrême, on dirait vraiment que l'absurdité cherche à atteindre un niveau record dans ESM. Bref, j'aime pas du tout, l'épisode aurait surement été mieux sans eux, apparition inutile, comme de plus en plus souvent au fils des saisons.

Au moins, on relève un peu la barre, sans pour autant la laisser à la verticale, avec l'aide des deux autres (quelqu'un a-t-il leurs noms ?), j'avoue avoir parfois ressenti un ennui fort face à certains passages, à nouveau celui de la chanson du camp, mis à part ça, aucune prouesse non plus, même si j'aime pas mal apprécié certaines de leur vannes, comme lorsque Lisa vient les voir à Sprooklyn et qu'elle découvre l'appartement, ou encore lorsqu'il insulte l'acteur dans la seconde partie au camp, ça reste plutôt faible, et j'en ait eu marre de les entendre faire un mix entre chanter et parler dès leur premières apparitions dans l'épisode.

Vraiment comme beaucoup de personnes, je trouve que plus on s'enfonce dans l'épisode pire c'est, et le final avec les deux personnages, non seulement ça ne m'a pas fait rire, mais après l'avoir revu trois fois, je n'ai pas compris ce que ça faisait là : Incohérent, Inutile, et pas marrant... alors qu'est-ce que ça fait là ? Ce n'est d'ailleurs pas le seul "gag" de l'épisode a être stupide/improbable, mais bon j'en dit pas plus.

Autre idée mal exploitée, c'est Lisa au camp, ce passage, représentant quand même une partie importante de l'épisode est d'un ennui à mourir, honnêtement, je me suis sentie mal...
Mais le pire pour moi reste encore la partie trois. Les scénaristes peuvent faire ce qu'ils veulent... tant que c'est cohérent autant avec la réalité qu'avec les anciens épisodes. autant comme si Homer contre New-York n'existait pas, je n'aurais rien dit, autant comme cette parodie ne m'a non seulement pas plus, mais en plus entre (pour moi en tout cas) en contradiction avec l'épisode que j'ai cité. Pour ma part, c'est soi on critique ouvertement un sujet, en l'occurrence une ville, et on le définie par une réalité, soit on le caricature, mais faire les deux, je trouve que ça fait perdre son effet à toutes les hypothèses, on se retrouve finalement à ne plus savoir quoi choisir. Bon après tout j'ai peut-être mal compris, qui sait c'est encore quelque chose de caché, mais en attendant, je trouve ça con, c'est aussi simple que ça.

Quant à l'histoire B, j'y passerais pas des heures, Krusty n'est pas mon personnage préféré il a fait de bons épisodes, mais la plupart, je suis pas fanatique non plus, et je trouve vraiment que c'est particulièrement du gâchis, aucune vanne, aucun humour, aucun sourire pour moi, bref, c'est du néant, un scénario aussi solide que mes muscles.

C'est dommage, parce que lorsque l'on voit le début, ça commence bien, les répliques sont sympathiques, l'histoire semble un peu recherché, et puis à partir de 5-6 minutes de jeu, c'est la mi-temps pendant tout le reste de la partie.

Bref, je donne un 7/20 (Simplifié) à cet épisode, mais je pourrais descendre plus bas à l'avenir, cela faisait presque trois semaines que je n'avais vu aucun épisode, ça a du influencer je pense.

Et ça c'est la critique de Lenny Bar :

que l'épisode était minable, mais 2 personnes l'ont déjà fait donc ça ne sera pas drôle.
J'aurai tant voulu dire « Mais non cet épisode n'est pas si nul !... » mais je ne veux pas vous mentir, cet épisode était tout simplement exécrable ! Pas autant que Kill Gil – s18 ou L'amour à la Simpson – s6 mais il entre sans problème dans mon flop 10... Parce que contrairement à Kill Gil, il y a quand même quelque gags... les 3/4 ne sont pas drôle ou ratés... mais il y en a quelque uns qui font quand même sourire...

Je me suis dit la même chose que H_2_B en voyant le début de l'épisode : « C'est nul, mais c'est pas si horrible »... je m'attendais bien sur à ce que ça se dégrade... mais pas à ce point...

L'histoire de Krusty sauve très légèrement le tout, je pense que sans cette histoire secondaire, l'épisode vaudrait 0,3/20... Ça ne vaut pas grand chose de plus, l'histoire de Krusty est inintéressante...

Comme certains l'ont dit : les chansons ne sont pas mauvaises, bien interprétées... mais... on est quand même dans une série humoristique non ?... Faire des chansons juste pour le plaisir de chanter, je vois pas l'intérêt.

J'ai bien aimé aussi la référence à Roofi ! La chanson n'était pas drôle du tout, mais bon...

Sinon j'ai assez bien aimé Le panneau publicitaire et le Gag du canapé dans le générique... pas extraordinaire, mais sympa.

Les gags : (ou plutôt dans ce cas-ci : Les trucs-qui-font-un-peu-sourire)
« Je tuerai pour avoir le prix de la paix »
Les couches de Maggie qui se remplissent
La fanfare qui joue Itchy et Scratchy
L'embouteillage à cause du camp de régime
Les menottes en forme d'Euro
Le jeu vidéo d'Otto (Le gag qui m'a le plus fait sourire... C'est quand même malheureux que le meilleur gag de l'épisode soit des enfants qui prennent feu)


Voilà, voilà, pour le reste je ne vais pas répéter tout ce qui a été dit sur cet épisode... Juste un épisode très très mauvais à oublier rapidement. Bien sûr il faudrait que je revois l'épisode mais 2/20 me semble une note respectable.

Donc ne dit pas que tu ne sais pas quoi, dire, tu as forcément des choses à critiquer, non ?