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Sujet cinéma

Démarré par stef, 3 Mar 2011, 19:35

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Sam Szlack

Citation de: beniboy97 le 10 Juil 2012, 18:42
Citation de: Sam
Szlack link=topic=622.msg142641#msg142641 date=1341939728

Mais le pire est The Incredible Hulk pour moi...:(

Ça, c'est vrai! Et belle critique Sam, j'ai appréciéThor un petit peu plus que toi on dirait  ;). J'ai décidé de me taper la trilogie X-Men et les Origines Wolverine, donc peut-être critiques à venir....

Merci ! :)

Je vais faire vendredi une critique sur "The Amazing Spiderman", je vais aller le voir jeudi soir. ;)
Moi, ce n'est pas une soirée XMen que je vais me faire, mais une soirée MARVEL et une autre DC !! :P ;)

Sinon, ce soir j'ai vu les Producteurs. Une comédie barrée et asssez provocante (envers le nazisme et l'homosexualité), mais terribelemts drôle et bien interprétée... J'etais hilare toute les 5 secondes, avec des chansons rythmées et assez drôle. :) Hilarant...

Bien que la dernière demi heure était assez ennuyeuse et moyenne...

16/20 (oui, une critique de 3 lignes !! :D)
Citation de: SC17 le 10 Juil 2012, 19:39
Citation de: beniboy97 le 10 Juil 2012, 19:31
sérieuz  :o.  J'ai beau être un fan de Marvel, je me suis quand même emmerdé durant les 2 hulk. J'ai vachement mieux aimé son rôle dans les Avengers!

J'ai d'ailleurs trouver Hulk dans Avengers moins bien fait qu dans Hulk 2  :-\
Franchement, je ne peux dire ce qu'a donné Hulk dans Avengers, étant donné que je ne l'ai pas vu...:(

Mais Thor n'est as mauvais pour moi, c'est un bon divertissement. :) ;)

Sinon

Jσнη Đoгıαπ

Comme toi SC17 pour une 2ème fois et comme toi Maurice.

Hulk est bien mieux que Thor, de toute façon je n'aime pas le personnage de Thor.


                             

H_2_B

Le drôle de Nöel de Scrooge : Allez, je vais  encore commencer par un sujet dont j'adore parler : le marketing. Si encore les deux-trois fois où j'en ai parlé étaient pour des sujets passables, ici, je trouve que la manière dont le film a été vendu est tout simplement inadmissible. Tout d'abord, le titre. En anglais, A Christmas Carol, il s'agit de l'adaptation du célèbre conte de Charles Dickens dont les hommages et les parodies existent en nombre considérable. Dickens nous conte l'histoire d'un vieil être acariâtre et pingre du nom d'Ebenezer Scrooge qui reçoit, le soir de la veille de Noël, la visite d'un vieil ami décédé sept ans plus tôt venu lui annoncer l'arrivée de trois spectres représentant les Noëls passés, présent et futurs. Un pitch inventif sur la rédemption et le partage. Une morale aujourd'hui ressassée mille fois dans les contes de Noël mais qui n'avait et qui n'est d'ailleurs toujours pas traité avec autant de dureté. Et comme j'ai employé le mot dureté, revenons-en au titre. Français s'il vous plait. Le drôle de Noël de Scrooge. Ce film est estampillé Disney et est sorti durant la période des fêtes, le spectateur s'attendait donc à une belle comédie familiale bien mièvre car il a été vendu comme tel par Disney qui craignait certainement de perdre des spectateurs en étant un tant soit peu honnête. Le Noël que vit Scrooge n'a pourtant rien de drôle, bien au contraire. Les bandes-annonces nous annonçaient une comédie pour toute la famille. Oui, mais pas si la famille est composée de gosses de moins de douze ans. Parce que ce film est très sombre, lourd mais également très fidèle, si ce n'est même la plus fidèle adaptation du conte de Dickens qui a toujours été édulcoré dans ses adaptations pour la télé ou le cinéma. Donc, à tout ceux qui étaient rebutés à l'idée de voir ce film parce qu'ils pensaient qu'il était trop mièvre, je vous le dit tout de suite, ne croyez en rien les bandes-annonces mensongères et le titre adoucit et lisez plutôt les expériences malheureuses de parents piégés par ce mercantilisme obligés de quitter une salle de cinéma où les pleurs de leurs enfants résonnaient. Un petit tour sur Allocine vous fera comprendre de quoi je parle.

Donc non, ce film n'est pas pour les enfants et franchement, j'en suis bien content. Ça fait plaisir de voir enfin ce classique reproduit avec l'ambiance originale de Dickens. Et le film ne tarde pas à nous faire entrer dans le bain puisque la première image que nous voyons d'un personnage est celle d'un mort. Belle entrée en matière. Et cela nous permet au passage d'admirer les personnages reproduit à l'écran avec la technique de la performance capture qui a bien évolué et s'est améliorée depuis Le Pôle express. Des personnages certes encore trop faux que pour être tout à fait attachant, mais cela dit déjà très réalistes. Le plus réussi étant sans conteste le personnage de Scrooge dont l'apparence squelettique et décrépi pouvait déjà faire fuir les enfants invités à voir le film sachant qu'ils allaient devoir se coltiner ce faciès une heure et demi durant. Ce Scrooge est en tout cas très convaincant et les traits empruntés à Jim Carrey justifiés tant le visage très expressif de cet acteur permette de donner de la vie à des personnages qui en sont dépourvu. Autre bon point de la performance capture, c'est cette possibilité de faire ce qu'il est impossible de faire en live. Tout le monde se souvient certainement de ce long plan séquence bourré d'action dans Le secret de la licorne mais totalement irréalisable dans la réalité. Et bien c'est à peu près la même chose ici et le générique témoigne de l'utilité de ce processus pour raconter certains types d'histoires. Donc, si le procédé n'est pas facile d'accès au début, il m'a fallu comme pour Tintin un petit temps d'adaptation, il se trouve au final très convaincant.

Pour ce qui est du traitement de l'histoire, comme je l'ai dit, il est très adulte. Que ce soit dans le comportement de Scrooge, cruel au possible, dans les décors et les ambiances sinistres que nous trouvons dès l'entrée dans le manoir du vieil homme ou dans les images montrées par les fantômes, fantômes dont l'aspect oscille entre le fantastique, le merveilleux et le terrifiant. Le fantôme de Marley est la première manifestation à l'écran d'un fantôme dans ce film. Un être mélancolique obligé de porter le fardeau de sa vie dont il n'a su profiter et qu'il regrette à présent. Le fantôme des Noël passés a quant à lui quelque chose de mystérieux mais également inquiétant. Être de flamme, parlant d'une voix calme, trop calme, il montre à Scrooge les moments forts de sa vie, les êtres qu'il a aimé et qui l'ont aimé et qui aujourd'hui ont disparu. Bel entrée en matière et sujet très glauque pour un enfant, pas vrai ? Et tout le film est comme ça. Rien ne nous est épargné, pas question pour Zemeckis d'édulcoré comme beaucoup avant lui le conte de Dickens. Et c'est ça que j'ai aimé dans ce film. Car c'est ça qui lui permet, contrairement au Grinch, de le rendre efficace même en dehors des périodes des fêtes. Car le sujet est plus universel que celui du film précité. Ce côté film d'horreur offre une alternative à la simple histoire de Noël.

Le second fantôme, celui du Noël présent, est plus jovial, il inspire la confiance avec son allure débonnaire et son rire réconfortant. Pourtant, les images qu'il montre à Scrooge sont loin d'être drôles encore une fois (et pourtant, c'est censé être son drôle de Noël au vieil homme) vu que celui-ci est obligé d'assister aux Noël de ses connaissances, triste et malheureux par sa faute pour l'un, joyeux et prospère de par son absence pour l'autre. La vue de ces Noëls lui est insupportable, de même pour le spectateur qui ne peut pas rester insensible devant le réveillon de Gratchitt. Et soudain, le fantôme qui était si lumineux et radieux se transforme car, étant la représentation du Noël du jour qui se termine à minuit, il n'a plus lieu d'être. Là, se produit une des scènes les plus sinistres du film que je vous laisse découvrir mais qui vaut le coup d'œil tant elle est parfaitement réalisée. Et enfin, le dernier fantôme, celui qui définit définitivement le film comme déconseillé aux enfants, celui des Noëls futurs. L'aspect de ce dernier fantôme est... fantomatique. Il ne ressemble à rien et en rien aux autres fantômes. Une ombre effrayante, froide, distante... Bref, est fait flipper. Elle montre à Scrooge son futur, teinté de noirceur et de mort comme on pouvait s'y attendre. Bien évidemment, dès le début du film on en connait le but de ces fantômes et donc, l'issu n'est pas très surprenante mais tout de même, on commence à s'inquiéter du sort de Scrooge et à se prendre d'affection pour cet être qui a dû subir en une nuit de si horribles visions devant lesquelles n'importe qui aurait craqué. Le fin est celle de la rédemption, ça on le sent et tout est bien qui finit bien. Mais après toutes ces images sombres, ça fait du bien de voir une lueur d'espoir.

Au final, j'ai adoré Le drôle de... A Christmas Carol. Son côté mature assumé jusqu'au bout avec tout de même une pointe de merveilleux en font un savant mélange appréciable tant durant les fêtes qu'en dehors. La performance capture doit encore faire ses preuves mais est déjà bluffante ici. Sans doute mon adaptation préférée du conte de Dickens que je recommande à tous... sauf aux plus jeunes.


M. Popper et ses pingouins : Finir une rétrospective sur Jim Carrey avec ce film, c'est triste. J'ai donc regardé 20 films, ce qui m'a permis de voir l'évolution du bonhomme qui a commencé par les comédies potaches avant de s'essayer à des interprétations plus profondes et se diriger finalement vers des projets moins risqués. Jim Carrey est un acteur bankable, il peut porter tout un film sur ses épaules et assure en général le succès de celui-ci. C'est lui l'argument qui sera utilisé pour vendre un film. Voilà pourquoi je me retrouve à regarder un film comme M. Popper et ses pingouins alors que si ça avait été n'importe quel autre acteur, je n'aurais même pas fait l'effort ne serait-ce que de le télécharger. Parce que dès le début du projet, je m'intéressais au film uniquement parce qu'il y avait Jim Carrey et peu importe de quoi ça allait parler. Quand j'ai appris qu'il s'agissait d'une histoire avec des pingouins, je me suis dit que ça pouvait être cool. Pas un film énormément drôle mais qui pouvait laisser place à de bons délires comme Yes Man. Malheureusement, ce n'est pas le cas.

M. Popper et ses pingouins raconte donc l'histoire d'un promoteur immobilier très doué, divorcé et père de deux enfants qui hérite de son père d'un manchot. Par la suite d'un malentendu, le voilà qu'il se trouve en possession de cinq autres bestioles. Il va devoir jongler entre ses nouveaux animaux de compagnies, des enfants distants et une femme qui n'est pas prête de lui céder un petit restaurant situé en plein Central Park. Et voilà comment on se retrouve devant un téléfilm de luxe. Parce qu'au final, il ne s'agit que de ça. Un téléfilm qui passe le samedi après-midi sur TF1, mais avec de grands acteurs. Et de voir ces acteurs évoluer dans un tel produit formaté fait mal au cœur. Jim Carrey bien sûr, puisqu'il s'agit du sujet principal des films que j'ai vu, qui n'est que l'ombre de lui-même. Même dans Menteur Menteur il était plus délirant. Ici, pas de grimaces à la The Mask, de trucs débiles mais drôles à la Dumb and Dumber, il aurait pu être remplacé par un autre acteur, le film ne s'en serait pas trouvé changé. À la différence que je ne l'aurais pas vu. Les seuls moments où j'ai eu l'impression de le reconnaître sont ceux où il semblait improviser comme au Gugenheim avec le champagne et le point géant ou le moment où il fait un ralenti. Ce sont les seules scènes de pur Carrey mais elles ne ressemblent qu'à de petits bonus dans un semble fort médiocre. Le film cible très clairement un public jeune et ce ne se gêne pas pour user des ficelles humoristiques pour provoquer un rire facile chez les plus jeunes. Ça se cogne, ça se fait mal, ça fait caca... Voilà, ça fera bien rire les gosses et les plus âgés se sentiront fort lésés. J'aurais préféré un bon dosage pour que le film soit apprécié par tous, avec peut-être même un double niveau de lecture, mais ce n'est jamais le cas dans ce film.

Ok, les manchots sont mignons et on peut se laisser charmer, au départ du moins, mais trop c'est gentil, plein de bons sentiments et on n'échappe pas à la bonne petite morale à l'américaine qu'on a déjà vu des centaines de milliers de fois. De plus, Jim Carrey a déjà joué la carte du papa divorcé qui essaye reconquérir l'amour de son gosse. Je ne vous dévoile pas grand-chose en vous disant que la fin n'est pas différente de Menteur Menteur, on sait qu'on n'y échappera pas dix minutes après le début du film. Et pendant une heure et demie, on assiste à des scènes peu originales, qui ne vont jamais assez loin dans le délire. C'est quand même un film avec des manchots et Jim Carrey, on s'attend à ce que se soit n'importe quoi. Mais quand le mot « familiale » et associé à « comédie », le résultat est souvent décevant car trop formaté. Je vous le dis, pour les enfants, c'est le top et à la limite, ça peut passer si vous le regarder un week-end après-midi quand il n'y a rien à la télé (ce qui arrive souvent vu la qualité de la télé de ces dernières années). La seule chose que j'ai apprécié donc, ce sont quelques situations sympathiques même si elles ne vont jamais assez loin dans leur idée, les quelques improvisations de Jim Carrey qui nous rappelle que c'est bien lui qui joue dans ce film et Poppy, l'assistance de Popper qui fait des phrases remplies de « p ». J'ai trouvé ça plutôt amusant, c'est pas grand-chose mais ça reste une maigre consolation dans cet ensemble plus que décevant.

Au final, M. Popper et ses pingouins ne peut plaire qu'aux enfants de par son traitement ultra formaté. On voit où sont les situations censées être comiques, mais c'est bien trop gentil, trop mièvre, ça ne décolle jamais. C'est sans aucun doute le Jim Carrey que j'aime le moins et finir une rétrospective de cet acteur avec ce style de film laisse un goût amer. Heureusement, son prochain film, Burt Wonderstone, a l'air de renouer avec ce qui a fait son succès et je suis plutôt confiant. Pour ce qui est de M. Popper et ses pingouins, ça m'a laissé de froid.

Tetouchaud

Citation de: H_2_B le 11 Juil 2012, 17:57
Le drôle de Nöel de Scrooge : Allez, je vais  encore commencer par un sujet dont j'adore parler : le marketing. Si encore les deux-trois fois où j'en ai parlé étaient pour des sujets passables, ici, je trouve que la manière dont le film a été vendu est tout simplement inadmissible. Tout d'abord, le titre. En anglais, A Christmas Carol, il s'agit de l'adaptation du célèbre conte de Charles Dickens dont les hommages et les parodies existent en nombre considérable. Dickens nous conte l'histoire d'un vieil être acariâtre et pingre du nom d'Ebenezer Scrooge qui reçoit, le soir de la veille de Noël, la visite d'un vieil ami décédé sept ans plus tôt venu lui annoncer l'arrivée de trois spectres représentant les Noëls passés, présent et futurs. Un pitch inventif sur la rédemption et le partage. Une morale aujourd'hui ressassée mille fois dans les contes de Noël mais qui n'avait et qui n'est d'ailleurs toujours pas traité avec autant de dureté. Et comme j'ai employé le mot dureté, revenons-en au titre. Français s'il vous plait. Le drôle de Noël de Scrooge. Ce film est estampillé Disney et est sorti durant la période des fêtes, le spectateur s'attendait donc à une belle comédie familiale bien mièvre car il a été vendu comme tel par Disney qui craignait certainement de perdre des spectateurs en étant un tant soit peu honnête. Le Noël que vit Scrooge n'a pourtant rien de drôle, bien au contraire. Les bandes-annonces nous annonçaient une comédie pour toute la famille. Oui, mais pas si la famille est composée de gosses de moins de douze ans. Parce que ce film est très sombre, lourd mais également très fidèle, si ce n'est même la plus fidèle adaptation du conte de Dickens qui a toujours été édulcoré dans ses adaptations pour la télé ou le cinéma. Donc, à tout ceux qui étaient rebutés à l'idée de voir ce film parce qu'ils pensaient qu'il était trop mièvre, je vous le dit tout de suite, ne croyez en rien les bandes-annonces mensongères et le titre adoucit et lisez plutôt les expériences malheureuses de parents piégés par ce mercantilisme obligés de quitter une salle de cinéma où les pleurs de leurs enfants résonnaient. Un petit tour sur Allocine vous fera comprendre de quoi je parle.


Je suis totalement d'accord, ce film, par ailleurs beau et très réussi, n'est absolument pas à montrer à des enfants... j'ai voulu le voir avant de le montrer à ma soeur, connaissant l'univers sombre des Dickens, eh bien au final je ne lui ai pas mis : c'est un excellent film, mais vraiment pas adapté à des gosses (il m'a fichu la chair de poule à certains passages !), et pourtant il a l'appellation "Tout public"...
"Si un jour tu doutes, si tu as peur, que l'avenir te paraît sombre et que tu ne sais plus vers qui te tourner, fais comme les bulles de savon, dirige-toi toujours vers la lumière."

Marie Vareille, "Ainsi gèlent les bulles de savon".

Statham17


The Reg

Très bonne critique Jérémy, je suis curieux de le voir désormais ce drôle de Nöel de Scrooge. Autrefois, il y avait une version avec Mickey, Picsou et Dingo, qui était également très sombre et particulièrement réussie, j'avais le livre étant môme.

D'ailleurs, elle est sur Youtube.

H_2_B

Citation de: Regismo le 12 Juil 2012, 11:58
Autrefois, il y avait une version avec Mickey, Picsou et Dingo, qui était également très sombre et particulièrement réussie, j'avais le livre étant môme.

D'ailleurs, elle est sur Youtube.


Je m'en souviens, je l'avais sur cassette avec d'autres classiques revisités par Disney comme Jack et le haricot magique et Le prince et le pauvre qui étaient vraiment très réussis. Cette version du conte est celle que j'ai le plus vue avec Noël chez les Muppets. Merci pour le lien en tout cas, ça me fait plaisir de pouvoir le revoir.

Tetouchaud

Je viens de voir La vie des autres de Henckel von Donnersmarck, c'est un Summum du cinéma allemand, le réalisateur arrive à rendre dynamique et intéressant un film sans une seule scène d'action. Du très grand cinéma donc, l'histoire de la guerre froide est parfaitement retranscrite, une très grande réussite. Petite mention à l'acteur Ulrich Mühe, qui nous a livré un très grand jeu pour l'un des derniers films sans son décès. 19/20, pour une ou deux scènes pas très utiles, mais globalement un sacré beau long-métrage !
"Si un jour tu doutes, si tu as peur, que l'avenir te paraît sombre et que tu ne sais plus vers qui te tourner, fais comme les bulles de savon, dirige-toi toujours vers la lumière."

Marie Vareille, "Ainsi gèlent les bulles de savon".

Sam Szlack

#3158
Hier j'ai vu The Amazing Spider-Man.
Certains que ce reboot ne pourrais rivaliser avec la trilogie de Sam Raimi, j'y suis allé pour voir ce que ça vallait et en tant que petit fan de Spidey.

Et j'ai été surpris, déçu sur certains points mais j'ai bien aimé.

Le scénario est un peu plus original que le 1er de Raimi. Là, Peter ne se fait bêtement pas mordre. Là, il y a un début d'intrigue avant la fatale morsure. On ne passe pas directement a l'araignée radioactive,qui ne joue pas un super rôle primordiale dans [spoiler]les recherches de Connors et Richard.[/spoiler]..

Puis, la scène où Parker découvre ses pouvoirs [spoiler]dans le metro en assomant des gens[/spoiler] est simplement trop décalée. Cet instant doit être interresant, nous posez des questions normalement. Là, il n'y a pas la magie du Raimi. La scène est drôle (bien que je n'ai pas rit), alots que ce genre de scènes doit être sérieuses...
Et en parlant de l'humour, celui ci était quelques fois assez lourds (ou bien je ne rigollais pas parce que la femne derrière moi rigolais tout le temps. Ce film n'est pas une comédie voyons !!)

Par contre, quand il découvre cela dans sa chambre, je l'ai encore trouvé pas a la hauteyr de Raimi. Mais c'etait mieux.

Puis, il y a Gwen. L'idée d'une autre Marie Jeanne ne m'inspirais pas confiance. Mais ce n'est que MJ sous autre pseudonyme.
[spoiler]Qu'ils sortent ensemble m'a dérangé au début de leur relation. Mais je vais parler du pourquoi sur le point suivant.[/spoiler].

Dans le film, Parker est plus "cool" sue dans le comic et les films de Raimi. Andrew Garfield apporte son petit lot de scènes bien Peter Parkerielle ([spoiler]où après s'être fait battre par Flash, on shoote dans son appareil photo, on bloque son casier par un couple s'enlaçant...[/spoiler]).
Mais il apporte moins d'émotions. Peter (McGuire) faisait pitié, un garçon gentil et intelligent, mais coincé et maladroit. Là, Peter (Garfield) un garçon maladroit, paumé mais cool et décontracter. Son attititude envers Flash au dévut du film le prouve.

Mais je compare le film a l'autre saga. Mais il y a bien des choses qui m'ont semblées inspirées par la trilogie de Raimi : [spoiler]Connors se parle a lui même, comme un schizophrénie. Et comme Osbirn dans le 1. Connors est un homme intelligent mais qui exploute son cerveau pour faire le mal, qui pour lui est le progrès. Comme Dr. Octopus.[/spoiler]

Mais le film est bon. Si il semble trops inpiré des films de Raimi et pas des comics (a peu de moment je me suis senti que c'etait en lien avec le fabuleux comic), il offre des moment éloignés et bon de la trilogie.

Ben prends plus d'épaisseur je trouve (dans le 1, il n'est exploité que une dizaine de minutes en tout. Puis, basta. Ici, il est plus interressant, plusattachants, creusé et exploité). Le meurte de son oncle prend aussi plus d'importance : [spoiler]Spidey sillone New York pour assoupir sa vengeance personelle. Une chose originale.[/spoiler]


Et les scènes où Spidey se lance, de toit en toits sont exquises. Elles sont égales aux fioms de Raimi.
Mais certaines scènes sont lourdes, prévisibles (la fin), et gentillettes (Le Lézard redevient gentil.).
La fin où Flash est pote avec Peter m'a enervé. C'etait cliché, lourd, guimauve et Flash est une brute. Il ne va paas devenir du joir au lendemain sympa avec ce paumé.
La fin, avec Gwen, m'a semblé bizarre... Resteront, resteront pas ?... Là scène très chiante a propos des chocolats m'on bien ennuyé, même si ce n'etait que 2 mnutes...

Andrew Garfield est exellent dans le rôle de Spider-Man, mais il n'a pas la bonne tête de Peter...

Ce ne pas un simple reboot pour moi. C'est une autre vision de Sidder-man qu'on assiste.

Franchement, un film a voir, pour les fans de Spidey, de la 1ere trikogie, des comics et les novices du genre.

15,5/20.



Je crois que le fipm va demarrer une nouvelle trilogie. Et la fin, je suis sur, annonce un Norman Osborn plus sombre que d'habitude.


Je m'arrete sur le fait que beaucoup trouvent que le pire ennemi de Spider-Man est le Bouffon Vert (Norman Osborn). Peut etre est ce dût au 1er film de Raimi. Pour moi, il n'est qu'un vilain parmis tant d'autres...

Tony.

Ouais ça m'a donné envie de le voir. :)

Sinon pendant les vacances, je vais me refaire les Harry Potter, les Star wars et les Spider man =)
J'gratte j'gratte et la nuit j'me défoule contre tes textes [CLAP CLAP] c'est le bruit de mes boules contre tes fesses !#Nekfeu

Tetouchaud

La guerre des mondes de S. Spielberg. Une petite merveille, peut-être trop un stéréotype d'une famille américaine, mais autrement un excellent film et des effets spéciaux à couper le souffle, on ne voit pas les deux heures passer ! Je n'en attendais pas moins de Spielberg, et avec Cruise et Dakota Fanning dans le casting, ça promettait du beau spectacle !
Je m'attaque à présent à Tintin, le secret de la licorne (je compte voir bon nombre de Spielberg ces prochains jours).
"Si un jour tu doutes, si tu as peur, que l'avenir te paraît sombre et que tu ne sais plus vers qui te tourner, fais comme les bulles de savon, dirige-toi toujours vers la lumière."

Marie Vareille, "Ainsi gèlent les bulles de savon".

Statham17

The amazing Spider-man, moi je trouve qu'il y a trop d'humour c'est pour sa que sa tue le film enfin je trouve, ensuite je trouve que Garfield est moyennement fait pour le rôle de Spidey je préfère Maguire.

Ton classement ?

Débat

A qui sa correspond le mieux ?



Quel costume est le mieux ?








Jσнη Đoгıαπ

Je viens de voir que l'affiche d'"Amazing Spider-Man" est un plagiat de celui de Raimi.

Spider-Man 2


Amazing Spider-Man


                             

Statham17

On peut dire sa mais c'est pas officiel ? ( c'est vrai que c'est très ressemblant )

Pour mon débat moi je suis Sam raimi 100%


Sam Szlack

Je trouve le costume Raimi plus fidèle au comics. Mais le Webb est plus classe ! ;)
McGuire est mieux dans le rôle de Peter Parker, Garfield dans le rôle de Spidey est meilleur.

Alors, ce soir, je voulais regarser District 9 (film que j'ai vu en salles et que j'ai bien aimé)... Mais mon choix s'est porté sur un film un peu mieux... ;)


The Dark Knight
Un film incroyable, fais avec minutie (tant sur la psychologie des personnages que sur les effets spéciaux).Attention, je ne vais pas cacher les moments du films.


Le film débute par des clowns, se massacrants les uns après les autres. On est lâché : crime. Le mot qui désigne le scénario de ce film. Non, non... Je ne veux pas dire que le scénar soit un crime, un viol sauvage envers le comic, loin de cela. Mais le crime berce le film. Il n'y a que ça. Le film n'est pas glauque ou ultra violent (comme l'adaptation du comic The Punisher). Dark Knight est cruel. Le Joker trahi ses acolytes ou fais subir de sérieux dilemmes à d'innocentes victimes. Tout cela pour faolire la peau a Batman. Qui, lui, est le véritable lutteur envers ce ce crime et de ces crimes. Mais qui est vu comme un danger pour Gotham. Un Gotham envahi par la corruption.

Mais bien que Gotham est loin de cette ville dans le comic (Gotham sur papier semble plus dangereux, envahi par les voleurs et les assasins. Un ville qui ne vit que la nuit), le film est une declaration d'amour pour le comic. La psychologie est présente (bien plus que dans le comic), la violence aussi.
Et Batman. Un Batman mysterieux. Un Batman que l'on voit même assez peu dans le fiom, le Joker lui volant la vedette. Et c'est le seul point faible d'un si grand film. Un Batman et un Wayne un peu présent. Sa voix reste gravée dans la mémoire du spectateur (au début, cette voix ne m'inspirait pas confiance. Maintenant, pour moi, c'est LA voix du personnage de Batman)

Et là, le Joker exelle. Fou, cruel, taré, non serieux... Heath Ledger lui a transmis une veritable ame et une psychologie. Là où le Joker de Burton avais presque une graine d"humanité, de pitié, le Joker made in Nolan est un génie du crim, un veritable méchant, noirci par la folie. Ses histoires pour ces cicatricee glassent le sang, par la façon dont il les racontent (et ces tics qui vous hypnotisent même...).
Je n'ai jamais vu un tel méchant, dans n'importe quel divertissement. Bowser, Dark Vador et même Sauron ne sont pas aussi "monstrueux" que ce génie du crime.
Aucune humanité ne le traverse. Il reste de marbre face aux pires crimes...

Du grand art... Du génie. Nolan a compris et tiré profit du personnage du Joker.

Les musiques sont absolument magnifiques, et souligne les scènes poignantes (la fin) ou les scènes d'actiin (sur la route, où Gordon est de retour). Mais elles ne vous rrsteront pas en tête. Elles sont magnifiques mais n'inovent pas.

Les scènes poignantes font légions.
Si elles illustre la folie du Joker (le dilemme entre les 2 Ferry) ou des scènes simplement magnifiques et qui appuye sur le coeur (cette fin...), elles parsème le film sans le rendre dramatique où denué d'action (ben oui, Batman, c'est un peu cela). Qui, elles, ces scènes d'actions, sont spectaculaires (le retour de Gordon), mais des fois assez floues : des scènes qu'on a du mal a cerner, qui ne marque pas.
Je m'attendais a une fin faite de castagne envers ce Clown et cette Chauve Souris. Mais bien que elle est poignante (Batman est reduit a néant), elle n'apporte pas l'action esperée...

Et alors, je m'arrete sur cette fin.
Avec celle du Seigneur des Anneaux : le Retour du Roi, c'est la plus belle de toute l'histoire du cinéma. Batman, protecteur de la justice et de Gotham, injustement poursuivis, où on ne sait ce qui va lui arrriver, où l'on voit les réactions des personnages liés (Alfred brûlant les dernières lettres de son "patron", Lucius fermant definitivement le labo de Wayne, ne savant ce qui arrive a ce dernier et enfin Girdon et son fils. Son enfant incrédule, perdu face a l'acte de Batman, et son père, laissant l'homme chauve souris dans sa course contre lui même)... Cette fin m'a même mis la larme a l'oeil...

Magnifique.


Et cette fin clôt un film magique. Un film extra ordinaire...
Je ne peux continuer plus loin... C'est, tout simplement, extraordinaire...



18,5/20