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Sujet cinéma

Démarré par stef, 3 Mar 2011, 19:35

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Charles Montgomery Burns

Si tu veux un film qui pète sur grand écran avec un fat de scénario, va voir Looper. Si tu veux pas, va en voir un autre.  ;D
Je suis vide avant d'être plein, et on me jette dès que je le suis. Que suis-je ?

Sam Szlack

Ça cela me tente ! ;D

Je viens de voir la bande annonce et effectivemment ça a l'air vraiment pas mal. :)

Statham17

Looper j'étais chaud mais en revoyant la BA ça me tente plus  :-\

Maurry Christmas!

Voilà mes notes sur ces trois films :

Ted 8-11/20
Looper 13-15/20
Skyfall 16-17/20

Chokapik

Oh mon Dieu les gars je suis dèg, je voulez me mater Looper avec des potes, il avait l'air énorme. MAis en fait on s'est rematé Paranormal activity. Même si je l'ai vu 2 fois, la fin fait vraiment flippé... Mais j'étais quand même la seule morte de rire pendant tout le film ^^'
Pour toujours, artiste de ta propre vie.

homer vs new york

Je ne vois pas comment on peut être mort de rire devant PA, il n'y'a rien de risible ou de ridicule dans ce film  ???. A part si tu es sadique....
Faisons l'amour et pas la guerre
                                                   Car une boîte de capotes est moins chère
                                                                                                                  Qu'une bombe nucléaire !! :)

Statham17

Citation de: homer vs new york le 10 Nov 2012, 20:35
Je ne vois pas comment on peut être mort de rire devant PA, il n'y'a rien de risible ou de ridicule dans ce film  ???. A part si tu es sadique....

Moi j'ai rit quelque fois dans Sinister avec [spoiler]" Gros dodo [/spoiler]" et le [spoiler]" tu t'es pas lavé les dents ? " [/spoiler]:D

homer vs new york

Oui mais il y'a une énorme différence entre " quelques rires " et " mort de rire "  :P.
Faisons l'amour et pas la guerre
                                                   Car une boîte de capotes est moins chère
                                                                                                                  Qu'une bombe nucléaire !! :)

Chokapik

Citation de: homer vs new york le 10 Nov 2012, 20:35
Je ne vois pas comment on peut être mort de rire devant PA, il n'y'a rien de risible ou de ridicule dans ce film  ???. A part si tu es sadique....

Mais non mais tout le monde gueulé, et moi je trouvé pas que ça faisait peur et j'étais avec des pote, donc déjà je te dis pas les barres, puis je sais pas moi, ça m'a fait rire x)
Pour toujours, artiste de ta propre vie.

homer vs new york

Oui peut peut être que sur le moment, et au vu de la réaction de tes potes ça t'as fait rire.  ;)

Je suis sur que si tu le mate une nouvelle fois toute seule, tu ne riras pas  ;D.
Faisons l'amour et pas la guerre
                                                   Car une boîte de capotes est moins chère
                                                                                                                  Qu'une bombe nucléaire !! :)

Chokapik

Citation de: homer vs new york le 10 Nov 2012, 20:46
Oui peut peut être que sur le moment, et au vu de la réaction de tes potes ça t'as fait rire.  ;)

Je suis sur que si tu le mate une nouvelle fois toute seule, tu ne riras pas  ;D.
Tu me connais mal  ;D
Pour toujours, artiste de ta propre vie.

Sam Szlack

#4196
Citation de: homer vs new york le 10 Nov 2012, 20:35
Je ne vois pas comment on peut être mort de rire devant PA, il n'y'a rien de risible ou de ridicule dans ce film  ???. A part si tu es sadique....

Regarde la BA du 4... Je me suis marré comme pas possible tellement c'est d'un ridicule.


Bon, ce soir j'ai vu Ted. En bref (pas envie de faire une grosse critique) c'est très moyen. J'ai pas beaucoup rit, le développement scénaristique est nul, et le dernier quart d'heure est sâoulant.
J'ai été trèèès dèçu par le 1er film de McFarlane... Seul la 1e demi heure est vraiment bonne ça sent l'humour Family Guy a plein nez. Puis ensuite...
J'ai été déçu a un point !!!

Bref, en film de potes "spécial", il n'arrive pas à l'orteil du gigantesque Paul.

10/20



Par contre, les réferences à Flash Gordon sont vraiment pas mal.

H_2_B

Pour Halloween, j'ai regardé trois films : Hostel, Don't be afraid of the dark et le Dracula de Coppola. Après une longue réflexion de 2 minutes sur le choix du film dont je voulais parler, je me suis finalement porter sur Don't be affraid of the dark, sans doute le film le moins connu des trois. J'aime bien faire sortir de l'ombre les petits films qui le méritent et celui-ci en fait donc parti.

Don't be afraid of the dark : C'est en ouvrant mon MadMovie que j'ai découvert l'existence de ce film. J'aurais pu facilement passer à côté si je n'avais pas vu que le nom de Guillermo Del Toro était attaché au projet en tant que producteur. L'histoire du film a ensuite attisé ma curiosité mais rien que le nom de Del Toro et le titre du film étaient suffisamment alléchant. L'histoire en quelques mots : une jeune fille du nom de Sally est envoyée chez son père, fraichement divorcé et en couple avec une nouvelle femme, pour "changer un peu d'air." Sauf que la nouvelle maison du papa semble habitée par des créatures nocturnes qui se sont fait une spécialité dans la capture d'enfants. Et qui sera leur nouvelle victime ? Bingo, la petite Sally.

Dès la scène d'ouverture, le ton général du film est donné. Cette séquence d'introduction se passe à la fin du XIXe siècle dans une ambiance gothique qui se marie bien avec l'époque et le style de la maison, véritable personnage à elle toute seule. Un début choc, qui n'y va pas avec le dos de la cuillère et qui délivre suffisamment d'éléments pour comprendre de quoi le film va parler sans non plus trop en dévoiler pour garder la part de mystère nécessaire pour vouloir regarder la suite. Tout inexpérimenté qu'il est, le réalisateur Troy Nixey, dont c'est le premier long-métrage, arrive en quelque minutes à imposer un style envoutant, inquiétant, des caractéristiques à mon avis primordiales pour faire un film d'horreur un tant soit peu intéressant  et qui délivre autre chose que du meurtre sanguinolent toutes les 3 minutes. Là, ce film s'inscrit déjà dans la tradition du film d'épouvante à tendance "maison hantée" qu'on pouvait retrouver dans les années 70-80. Et ce n'est que la première scène.

Forcément, après un début qui vient caresser nos sens comme celui-ci, la suite semble logiquement moins puissante. C'est pas faux mais il faut bien introduire les personnages, leur situation, leurs liens. Là où le réalisateur fait fort, c'est de choisir le point de vue de Sally pour organiser tout son film. C'est assez rare au final qu'un film se construise entièrement autour du point de vue d'un seul enfant. Je pense directement à Poltergeist avec tout de même une réserve puisque les parents se disputent le temps d'écran avec la petite blondinette ce qui n'est pas le cas de Don't be afraid of the dark qui, bien qu'il y ait intervention d'adultes, les laisse finalement dans leur second rôle. La difficulté de rendre crédible une histoire comme celle-ci, c'est d'avoir justement une interprète principale qui sache jouer. Les enfants peuvent rapidement être un problème dans un film. Je trouve que la frontière entre "mignon" et "tête à claque" peut-être rapidement franchie. Ici, ce n'est jamais le cas. La petite Bailee Madison, 13 ans à peine, semble déjà être une vraie pro. Un jeu très en retenu et sans accros, ce qui est rare chez les jeunes acteurs. Tout comme son personnage, elle semble déjà très mature et ce film montre qu'un bel avenir l'attend. Pour peu qu'elle fasse les on choix bien entendu. En tout cas, si j'en viens à faire l'éloge d'une jeune actrice de 13 ans, ce qui ne m'arrive pas souvent, c'est que j'ai vraiment été bluffé. La dernière fois que j'avais été étonné de la sorte, c'était avec Chloë Moretz.

Du côté des adultes, c'est le jour et la nuit. Je vais quand même rapidement parler du père de Sally joué par Guy Pearce qui semble aussi invisible que les créatures qui tourmentent Sally. Et encore, elles au moins font évoluer le métrage. Je pensais que son rôle allait être primordial, que ça allait être le genre d'histoire où la fille et le père qui se sont un peu perdu de vue vont se rapprocher dans cette épreuve. Ce ne sera effectivement pas une surprise de ce côté là et pourtant, ce n'est pas le père qui sera le véritable acteur de la réconciliation. Non, le film mise tout sur la belle mère : Katie Holmes. Eh oui, un film qui mise sur une fille de 13 ans et Katie Holmes, ça fait peur, non ? Et pourtant, pourtant, là où Nolan a échoué, Nixey fait un miracle. Katie Holmes sait jouer juste, elle sait dégager une émotion autre que l'apitoiement. Je vais pas jusqu'à dire qu'elle en devient une femme forte pour autant mais au moins, dans ce film, je me rallie à ses côtés et à ceux de Bailee Madison. Un film avec Katie Holmes dans lequel on n'a pas envie de cracher sa bille sur elle, c'est quand même suffisamment intriguant que pour se laisser voir. J'ai pas raison ?

Bref, passons à la suite. Après avoir installé les relations conflictuelles entre les différents personnages, on va s'attarder sur le mystère qui entoure les créatures. Le film n'est pas très long et au final, on saura assez vite de que quoi il en retourne. Pourtant, bien que la partie "mystère" passe assez vite, on en a une autre, celle que je qualifierais de la "cohabitation" qui fait son entrée. C'est là que le film se montre également original. On sait ce que sont les créatures (enfin pas totalement mais le principal est rapidement connu), leur manière d'agir et on sait ce qu'elles veulent. Ce qui est intéressant dès lors ce n'est pas dans savoir plus mais d'en voir plus. Quelle sera le prochaine attaque et quand agiront-elles ? On sait qu'elles sont là et qu'elles veulent s'en prendre à Sally mais on ne sait jamais quand, ce qui fait que chacune de leur apparition entraine un petit sentiment d'angoisse pour Sally. La peur de l'inconnu, ce sentiment qu'on sait qu'il va se passer un truc mais sans qu'on sache ce que c'est. C'est ce qui va rythmer le film jusqu'à l'éclosion totale du mystère et son dénouement. Tout ça encore une fois sera maîtrisé par une réalisation à la fois classique mais efficace et un jeu d'acteurs très crédible. Je peux reprocher au film de prendre à un moment un aspect un peu routinier mais toujours ponctuer d'une avancée que ce soit dans l'histoire des créatures ou l'implication des adultes.  De toute façon, l'ambiance générale du film, les décors, la musique, la photographie,... fascinent suffisamment pour profiter agréablement de la petite heure trente que dure le métrage.

Au final, que retenir de Don't be afraid of the dark ? Que pour une première réalisation, c'est excellent. Le style est propre sans être léché et on sent l'inspiration de Del Toro sur certain plan (les scènes dans le jardin ou la découverte de l'intérieur de la maison par exemple). Que les acteurs (j'ai presque envie de dire actrices) font un excellent boulot et que j'espère que Bailee Madison va connaître un grand succès. Que l'aspect "maison hantée/film de ghoules" (et pas film de "boules", j'en vois déjà qui ont un petit sourire en coin) a trouvé ici un bon équilibre pour ne pas être un simple copier/coller de ce qui a déjà été fait. Que le style gothique est définitivement parfait pour les films d'horreur. Bref, que Don't be afraid of the dark doit être dans votre liste de film "à voir" un soir, les lumières éteintes. Pour peu que vous n'ayez pas peur du noir, ce film vous replongera dans vos peurs infantiles et vous rappellera pourquoi vos parents vous mettaient une veilleuse. N'ayez pas peur des ténèbres, ce qu'elles peuvent transporter est bien plus terrifiant.

Maurry Christmas!

Il y a un cinéma qui fait une soirée La mouche, je vais surement y aller, j'aimerais savoir avant si le film vaut la peine ou pas.

homey

#4199
"La mouche" ? C'est pas une vieille VQ de Bee Movie ? :D