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L'anecdote du jour

Pour l'épisode Un tramway nommé Marge (s4) Jeff Martin avait au départ prévu qu'Homer joue dans une reconstitution théâtrale de 1776.

Les Simpson à la TV

Aucune diffusion à venir.

Les vrais-faux Simpson

SEQ 1 - INT/JOUR Musée de la télé et de la télévision :[L'épisode commence directement avec Troy McClure qui marche dans un grand couloir]
Troy : "Série dérivée". Aucune expression ne fait autant battre le coeur des hommes. Bonjour, je suis Troy McClure, vous m'avez sans doute vu dans des séries dérivées de série célèbre comme "Starsky et Hutch sont de retour" et "Après Mannix". Je me trouve au musée de la télé et de la télévision, où un super cadeau va être fait aux fans des Simpson puisque ce soir, nous vous présentons les "Episodes de série dérivée des Simpson".
[Les gens applaudissent. Un écran où il est écrit "The Simpsons Spinoff Showcase" s'affiche]
Troy : Il y a quelques temps, la chaîne Fox formulait au producteur des Simpson une demande très simple : 35 nouveaux épisodes pour boucher les quelques trous dans leur grille de programmes. La tâche était assez impressionnante et les producteurs ne furent pas à la hauteur. A la place, ils pondirent 3 séries dérivées des Simpson transplantant les personnages déjà célèbres dans de nouveaux lieux et de nouvelles situations. La première d'une série noire, très noire avec Wiggum, le chef adoré de la police de Springfield. Tâchez de garder au moins un oeil ouvert car ses meilleurs amis les Simpson pourraient bien passer lui souhaiter bonne chance. Souhaitons-lui donne chance nous aussi. Bonne chance, Wiggum.

SEQ 2 - Série "Chef Wiggum, détective privé" :[Troy allume la télé et la série commence, c'est le générique. Wiggum conduit une décapotable sur un pont et il tire dans les vitrines d'un magasin]
Narrateur : Le chef Wiggum, détective privé... Avec le chef Wiggum... Le proviseur Skinner dans le rôle de Phil de Fer... et Ralph.
[Wiggum entre dans son bureau avec des cartons accompagné par Skinner alias Fil de Fer]
Wiggum : Ah, la Nouvelle-Orléans, le berceau du Jazz, le royaume de la cuisine créole, la patrie des alligators.
Skinner : Je ne comprends toujours pas Clancy, pourquoi avoir quitté votre poste de chef de la police d'une petite ville pour devenir détective privé à la Nouvelle-Orléans.
Wiggum : Oh, pour des tas de raisons, je suppose. J'ai été viré de la police, ça en est une.
Skinner : Pour corruption massive ?
Wiggum : Pour corruption, exactement.
Skinner : Quant à moi je suis né et j'ai grandi ici dans les bas quartiers de la Nouvelle-Orléans. Oh bien sûr j'en suis parti très vite pour prendre ce poste de proviseur à Springfield mais au fond de moi j'ai toujours été un petit arnaqueur.
Wiggum : Je le sais. C'est précisément pour ça que je t'ai pris comme garçon de course, Phil de Fer. Je veux que tout le monde soit au courant : le chef Wiggum est ici pour vider les ordures de cette ville.
[Un crâne casse une fenêtre et atterrit dans le bureau]
Skinner : On dirait que vous avez déjà un ennemi, chef. Vous savez dans le coin on n'aime pas beaucoup les défenseurs de la loi et de l'ordre.
Wiggum : Sans blague. Peut-être qu'ils changeront d'avis quand je les aurai arrêté pour avoir lancé des crânes sur mon plancher.
[Le soir, dans le bateau où le chef Wiggum vit. Il couche Ralph dans son lit]
Wiggum : Bon sang, quelle journée. C'est pas de la tarte d'élever seul un enfant, de jongler avec sa carrière et sa famille comme un jongleur avec toutes ses balles... 2 dans mon cas.
Ralph : Papa j'ai trop chaud avec tes culottes en caoutchouc.
Wiggum : Tu la porteras jusqu'à ce que tu apprennes, fiston.
[Il embrasse Ralph. Wiggum et Skinner mangent dans le restaurant du bateau. Le serveur apporte des homards]
Serveur : C'est extra.
Skinner : Vous ne pouvez pas dire "extra" ?
Wiggum : Alors Skinner. D'après-toi, qui a lancé ce crâne par ma fenêtre ? Qu'est-ce qui se dit dans... dans la rue ?
Skinner : Eh bien pour être franc chef, ça fait 42 ans que je ne vis plus à la Nouvelle-Orléans. Cela étant, d'après un article que j'ai lu dans "Parade Magazine", un criminel que l'on surnomme "Gros Papa" fait la loi dans cette ville.
Wiggum : Gros Papa, hein ? Il va se sentir tout petit s'il cherche encore des poux au détective privé Wiggum... ce dont je doute sincèrement.
[La nuit, Wiggum dort quand un alligator entre dans sa chambre. Il monte sur son lit et ouvre sa gueule pour avaler la tête de Clancy]
Wiggum : Non !
[Il se lève soudainement et il tire avec son revolver sans toucher l'alligator. Skinner se précipite sur l'alligator pour l'immobiliser, chose qu'il réussit à faire. Il lui ouvre la gueule et voit que ses dents sont protégées par des bouchons]
Skinner : Une chance, c'était un alligator-avertisseur. Le prochain n'aura pas de bouchons.
Wiggum : Ecoute-moi bien Gros Papa, tu ne me fais pas peur. J'ai trois longueurs d'avance sur toi.
Skinner : Chef. Votre fils a été enlevé.
Wiggum : Oh Seigneur.
[Il y a un crâne sur le lit de Ralph]
Skinner : Gros Papa a laissé sa carte de visite. Regardez voir à l'intérieur du crâne.
[Dans le crâne, il y a une carte]
Wiggum : [il lit] "Gros Papa, vu dans Parade Magazine". Je crois qu'on tient notre toute première affaire, Phil de Fer... et c'est une affaire personnelle.
Narrateur : Nous retrouverons le chef Wiggum juste après la pause publicitaire.
[Le téléphone sonne, Wiggum décroche]
Wiggum : Qui est-ce ?
Skinner : C'est moi chef, je suis sur l'autre poste.
Gros Papa : [dans une cabine] Ecoutez-moi mon ami, écoutez-moi bien. Je m'appelle Papa, Charles Papa.
Wiggum : Gros Papa, qu'est-ce que tu as fait de mon fils, Papa ?
Gros Papa : Le petit va bien, jusqu'ici. Je lui ai appris à jouer des cuillères. Si vous tenez à revoir votre gosse, je vous conseille de quitter la ville aujourd'hui, d'accord ?
[Il raccroche]
Wiggum : Il m'a semblé entendre comme des bruits de fête en fond sonore. Il y a une fête aujourd'hui Skinner ?
Skinner : Non, on ne fait pas grand chose dans cette ville. Quoi que si ma mémoire est bonne, ils ont une fête qui s'appelle mardi gros... mardi gris... mardi quelque chose.
[Wiggum ouvre les volets. Dehors, c'est le carnaval de Mardi Gras. Il sortent dehors. Des gens déguisés s'approchent de Wiggum, il a peur. Ils enlèvent leurs masques : ce sont les Simpson]
Wiggum : Ca alors ! Mais c'est mes vieux amis de Springfield les Simpson. Qu'est-ce qui vous amène à la Nouvelle-Orléans ?
Bart : Mardi Gras, mec. Quand M. Carnaval vous appelle, vous ne faîtes pas la sourde oreille.
Lisa : Chef Wiggum, je suis impatiente de vous entendre raconter toutes les aventures excitantes que vous avez dû avoir dans ce décors si pittoresque.
Wiggum : Oh ça oui, je serais content de bavarder mais mon fils a été enlevé. Vous l'auriez pas vu des fois : blanc de sexe masculin, âgé de 6 à 10 ans, le cheveu rare...
Homer : Il est là-bas.
[Homer montre Ralph, qui est à quelques mètres de là. Ralph est sur les épaules de Gros Papa]
Ralph : Regarde Gros Papa, c'est mon papa habituel.
Gros Papa : Le chef. Il vaut mieux que je me sauve. Jésus Marie, si seulement j'étais moins gros.
[Gros Papa s'enfuit, poursuivi par le détective Wiggum et son compagnon. Ils passent dans une ruelle, puis dans un cimetière. Arrivé au port, Gros Papa emprunte un bateau. Wiggum en prend un également en poussant son propriétaire dans l'eau]
Wiggum : Je suis en mission.
[La poursuite en bateau commence]
Wiggum : Tiens bon fiston, je suis venu te... [sa langue se prend dans l'hélice] Zut, ma langue.
[Un des protecteurs de Gros Papa saute sur le bateau de Wiggum mais avant même d'y atterrir, Wiggum déplace l'hélice vers le haut et l'homme s'envole. Gros Papa arrive dans sa demeure, une maison en plein milieu de l'océan]
Wiggum : A ton avis ça se monte à combien le loyer d'une planque pareille ?
Skinner : C'est pas loué, chef, c'est volé. C'est la maison du gouverneur de Louisiane, elle a disparue depuis 8 mois.
[Gros Papa se réfugie dans son bureau et s'assied. Wiggum et Skinner arrivent peu de temps après. Gros Papa tourne sa chaise vers les deux hommes]
Wiggum : Toi !
Gros Papa : Bienvenue dans ma demeure, chef. Je m'attendais à vous voir.
Wiggum : Tu t'y attendais Gros Papa ? Et ça, tu t'y attendais ? [il braque une arme sur Gros Papa] Ton arrestation par mes soins ?
Gros Papa : Mes amis, la Nouvelle-Orléans est ma ville, personne se met à travers de ma route. J'ai certains intérêts et je ne parles pas de collectionner les timbres, évidement. Bien que je trouve ça extrêmement intéressant.
Skinner : Ah oui ? Dans ce cas, nous sommes deux.
Gros Papa : Vous savez les gars ? Y'a un vieux dicton ici dans le bahut qui dit...
[Il jette Ralph dans les bras de Wiggum et en profite pour s'enfuire à la nage]
Skinner : Il s'éloigne peu à peu, chef.
Wiggum : Laissons-le. J'ai l'impression que nous le retrouverons chaque semaine sans faute dans des aventures toujours plus sensuelles et passionnantes.
Ralph : Papa. Quand je serais grand, j'aimerais bien être comme toi.
Skinner : T'as intérêt à manger, petit.
Wiggum : A manger.
[Ils rient]
Ralph : C'est pas de ça que je parlais.

SEQ 3 - INT/JOUR Musée de la télé et de la télévision :[Retour avec Troy McClure qui pose au milieu des drôles de dames avant de poursuivre]
Troy : Salut. Nous reprenons notre représentation de série dérivée. Est-ce que la popularité des Simpson aurait pu se maintenir sans Moe, le patron de bar ? Espérons que oui, parce que Moe s'en va pour faire son propre sitcom. Mais pas de panique, il emmène un vieux complice avec lui. Et son meilleur ami Homer pourrait bien passer lui souhaiter bonne chance. Jetons un coup d'oeil.
[Il lance la vidéo]

SEQ 4 - Série "Le papi Testamourmatic" :[Chez Moe, le seul client est Barney]
Barney : Moe. Faut que je me sauve. J'ai un rencard devant le drugstore, tu sais avec la fille qui hurle tout le temps.
[Il sort]
Moe : Elle m'a dit qu'elle se lavait les cheveux, ce soir. Je suis désespérément seul...
[On entend les rires du public]
Abraham : Eh, arrête tes jérémiades, pauvre cloche.
Moe : [voyant personne] Qui est-ce qui a dit ça ?
Abraham : C'est moi qui ait dit ça, Abraham Simpson.
Moe : [effrayé] V-V-Vous êtes... m-m-mort !
Abraham : Je l'étais mais je suis revenu, en machine à mesurer les prouesses amoureuses. Je suis le papi Testamourmatic.
Moe : Aaahh !
[Le générique commence]
Générique : [chanson] En faisant ses course, un vieil homme est mort [Abraham fait ses courses, il se fait écraser par un rayon] Il flotta vers le paradis, mais en chemin il se perdit. [en montant au ciel, un avion lui coupa ses ailes d'ange, il retombe sur terre] Maintenant c'est le "Testamourmatic" qui remplira nos coeurs d'amour.
[Fin du générique]
Abraham : N'ai pas peur, Moe. Je suis là pour t'aider à résoudre tes problèmes amoureux.
Moe : Eh ! J'ai pas besoin des conseils d'un flipper ou de n'importe quelle machine. Je pourrais écrire un livre sur l'amour si je voulais.
Abraham : Ouais, "A l'ouest, rien de nouveau".
[Le public fait "Ouhh !"]
Moe : Allez vous faire empagner. [rires]
Abraham : C'est ça ton problème, t'es toujours grognon. Les femmes aiment qu'on soit doux.
Moe : Je suis doux. Je suis plus doux qu'une liqueur de banane.
Abraham : Alors prouve-le. Je veux que tu charmes le prochain joli petit loup qui rentrera ici.
[Homer entre]
Homer : Bonjour à tous. [rires]
Abraham : Fiston, c'est moi. Je flottais vers le paradis mais je me suis perdu en chemin.
Homer : Hein ? Papa, c'est vraiment toi ?
Abraham : Et comment petit salopiaud. Tu m'as enterré tout nu et t'as vendu mon costume pour t'acheter une table de ping-pong. Quel genre de fils...
[Homer débranche la machine]
Homer : Pff ! [à Moe] Préviens-moi quand t'auras acheté un karaoké. [rires]
[Moe rallume la machine]
Abraham : C'est la deuxième fois qu'il me débranche.
[Une femme entre dans le bar]
Betty : J'ai eu un accident de voiture. Est-ce que je peux téléphoner ?
Moe : Le téléphone c'est quatre consommations minimum.
[La machine affiche un panneau indiquant qu'il ne se comporte pas bien]
Moe : Mais qu'est-ce qui vous prend ? On ne peut pas être plus gentil que ça.
Abraham : Tester la dame... tester la dame...
Moe : Oui, essayez le test amour. Ca marche en fonction de la moiteur des mains.
Betty : Ouais; Ca ne me fera pas de mal de rire un peu après cet accident.
[Elle essaye la machine]
Abraham : Manque d'amour, besoin d'un homme. Moe est là... Va vers Moe.
Betty : Quoi ?
Moe : Va vers Moe. Ca c'est ce qui s'appelle une chaude recommandation. Alors ça vous dirait d'aller faire un tour avec moi là-bas derrière... [la machine fait un mauvais signe] Je veux dire là-bas derrière l'église. Il y a un super restaurant français.
[La machine affiche un coeur]
Betty : C'est une bonne idée. Et si ce test amour est aussi fiable qu'il en à l'air, on prendra peut-être aussi le petit déjeuner.
[Le public fait "Ouhh !" et siffle. Elle s'en va]
Moe : Vous avez réussi grand-père. Vous êtes vraiment un expert en amour.
Abraham : Ca c'est vrai. D'ailleurs c'est moi qui ait inventé le baiser. C'était pendant la guerre de 14, ils cherchaient un nouveau moyen de répandre des microbes...
[Plus tard, au restaurant. Moe transporte le test amour habillé avec un joli costume. Le public rit. Il dépose la machine dans les toilettes]
Moe : Désolé grand-père, il faut que je vous planque dans les toilettes pour pas que Betty voit notre petit manège.
Abraham : C'est pas la soirée que j'avais imaginé.
Moe : Elle vient d'arriver. Donnez-moi un conseil, vite.
Abraham : Je sais pas. Sois gentil, tout sucre tout miel, tu vois.
Moe : Ah ouais, romantique. Est-ce que c'est pas un beau soleil ? Est-ce que c'est pas des fleurs idiotes ? J'ai pigé.
Abraham : J'ai souffert si longtemps... Pourquoi je meurs pas ?
[Dans le restaurant, Moe et Betty dînent en tête-à-tête]
Moe : Ce qui est merveilleux chez vous Betty, c'est que vous vous laissez aller avec élégance. Vous voulez pas paraître à tour prix séduisante et désirable. C'est rare de nos jours, et j'apprécie.
Betty : Alors Moe, parlez-moi un peu de vous.
Moe : Que je parle de moi ? Seigneur... Il faut que je retourne aux waters.
Betty : Hein ?
Moe : J'ai la courante.
[En arrivant dans les toilettes, il voit Jimbo, Dolph et Kearney frapper la machine]
Moe : Eh ! Fichez-moi le camp, laissez-le tranquille !
Kearney : Il a dit que j'étais homo. [rires]
Moe : Ca va grand-père ?
[Il le rebranche. La machine fait de drôles de bruits]
Abraham : [voix saccadée] Redonne-moi ta réponse.
Moe : Vous allez arrêter vos pitreries, j'ai besoin d'aide.
Abraham : [voix saccadée] Dis-lui que son popotin est moins gros que celui d'une vache mais deux fois plus odorant.
Moe : D'accord.
[Un peu plus tard, Moe revient avec le plat d'escargots sur lui. Le public rit]
Moe : Vous êtes sans doute la machine hantée la plus idiote de toutes la machines hantées que j'ai vu dans ma vie.
[Il frappe la machine, quand Betty entre dans les toilettes]
Betty : Mais enfin, qu'est-ce qui se passe ici ?
Moe : Et puis autant que je vous avoue tout. Je suis pas tellement doué pour parler aux femmes et je voulais coucher avec vous alors j'ai amené le test amour avec moi pour qu'il m'aide. Comme vous l'avez peut-être deviné il est habité par le fantôme du père de mon meilleur copain.
Betty : [en colère] Vous n'êtes qu'un intrigant, un sournois, un montre, un être ignoble... [elle change de ton] un adorable petit ange.
Moe : Non Betty, laissez-moi encore une chance... Quoi !
Betty : J'en reviens pas que vous vous soyez donné tout ce mal pour moi.
[Elle embrasse Moe. Le test amour fait "Bing !"]
Betty + Moe : Merci grand père.
Abraham : Ouais, ouais. Et maintenant si vous me présentiez à ce mignon petit téléphone à pièces qui est là. [rires]
Moe : Il est en manque.
[Générique de fin, avec la tête d'Abraham qui apparaît devant le test amour]

SEQ 5 - INT/JOUR Musée de la télé et de la télévision :Troy : Rebonsoir. Je bavarde avec le conservateur du musée de télé et de télévision, monsieur John Winslow.
Winslow : Euh...
Troy : [il lui coupe la parole] Dans la dernière série dérivée de ce soir, la famille Simpson a enfin l'occasion de nous montrer toute l'étendue de ses talents. Malheureusement un membre de la famille n'a pas voulu saisir cette chance et a refusé de participer mais grace à un casting inventif, vous ne le remarquerez même pas. Montre-nous cette merveille, chère télé.

SEQ 6 - Série "L'heure du sourire" :Kent : En direct du Carnagerie Hall, le célèbre music-Hall de Springfield, voici "L'heure du sourire", le variety-show de la famille Simpson. Avec les danseurs de Waylon Smithers et la troupe de Springfield, las "Pantalons Bouffants". Et maintenant, la famille quicignore la signification du mot "annulé", les Simpson.
[La famille Simpson est sur scène. Tous sauf Lisa qui est maladroitement remplacée par une autre fille beaucoup plus grande qui a une vingtaine d'années. Une chanson commence]
Famille : [elle chante] Venez en famille... Venez vous amusez... Venez retrouver la famille... la famille Simpson !
Marge : Vous me reconnaissez ? Je suis Marge, la mère de la télé, aux cheveux démesurés.
Bart : Dégage maman, c'est mon tour. Ne prends pas la tête et no problemo.
"Lisa" : Je suis Lisa, brillante et étonnante. Reine du bal de l'école 5 ans de suite. Allez Lisa !
[Bart fait stopper la musique]
Bart : Attendez, attendez, arrêtez la musique. Où est p'pa ?
Lisa : Tenez, le voilà.
[Homer se cache parmi les membres de l'orchestre]
Homer : Je me cache à cause du... du cannibale.
Marge : Quoi ? Quel cannibale ?
Homer : Avant l'émission tu as dit qu'on recevait le célèbre cannibale ce soir.
Marge : J'ai dit qu'on recevrait le célèbre Hannibal, ce soir. L'humoriste Tim Hannibal !
Homer : C'est quoi ce petit animal ?
Tim : Je serais plutôt un gros animal.
[Le public rit]
Famille : [elle chante] C'est la famille Simpson et son émission de variété "L'heure du sourire".
[La scène se sépare, de façon à ce qu'il ne reste que Homer et Marge]
Marge : Tu sais Homer, on a tous travaillé comme des castors pour préparer notre propre émission.
Homer : Marge, tu as déjà imaginé comment ça serait si on était une vraie famille de castors ?
Marge : Oui. Ca pourrait donner quelque chose comme ça...
[Dans la scène suivante, la famille Simpson est devenue une famille de castors. Homer rentre]
Homer : Chérie, c'est moi.
Marge : Bonsoir chérie. T'as abattu tout ton boulot aujourd'hui ?
Homer : C'était pas un bouleau Marge, c'était un sapin, et j'ai faillit me casser les dents dessus. Ouh ! T'as pas oublié ? Mon nouveau patron doit venir dîner chez nous ce soir.
Marge : Je sais, oui. J'ai préparé des petits bois à la sauche planche.
[On voit la table avec des planches en guise de repas dessus]
Bart : Eh, le voisin c'est vraiment un fils de hutte.
Marge : Bart !
Bart : Ben oui, il vit dans une hutte comme nous et il en sort jamais. [rires]
"Lisa" : Regardez tous, Maggie a fait sa première dent.
[Maggie a une seule dent de castor alors que le reste de la famille en a deux. Le public rit]
Homer : Bon. Maintenant avant que mon patron arrive, il y a un truc important qu'il faut que vous sachiez...
[On sonne à la porte]
Marge : Tout à l'heure Homer, il faut que j'aille ouvrir.
Homer : Mais Marge...
[Elle va ouvrir. Le patron, Tim est un putois. La famille s'évanouit]
Tim : Je sens qu'ils m'ont dans le nez.
McCallister : Celui qui a pondu ça devrait être envoyé aux galères.
Snyder : Je propose que ce sketch soit rayé des minutes du procès. Maintenant faîtes entrer l'accusé suivant.
[La scène suivante se passe dans un restaurant des années 50. Marge lit un journal]
Marge : Inflation, déficit commercial, massacres et atrocités en tout genre... Comment veux-tu qu'on fasse notre grand numéro musical avec tous les problèmes dans le monde ?
Homer : Y'a au moins un truc qui est toujours aussi pur et aussi bon dans ce monde.
Marge : L'amour chrétien ?
Homer : Non, les bonbons. Les bonbons ! Bonbons !
[La musique démarre]
Homer : [il chante] J'veux des bonbons.
Marge : Tu ne veux pas la fin de la famine dans le monde ?
Bart : J'veux des bonbons.
Marge : Ou sauver les saumons d'Alaska, menacés ?
"Lisa" : J'veux des bonbons.
Marge : Si vous ne pensez pas aux maux de la société...
Homer+Bart+Lisa : J'veux des bonbons.
Marge : Pensez au moins aux notes de dentistes.
[Puis, les enfants sont sur des bonbons géants et dansent]
Enfants : [ils chantent] C'est une nouvelle danse qui se danse comme ça. Ca s'appelle le twist de la pastille de menthe.
[Jasper ensuite dans et chante "The Lollipop Song". Il croque dans une sucette et son dentier tombe. C'est au tour de Smithers qui est habillé en cow-boy et qui a un fouet qu'il fait claquer]
Smithers : [il chante] Des coups de fouet, du fouet au réglisse. Allez, fouette, fouet au réglisse.
[D'un coup de fouet, il crève la bulle de chewing-gum de Selma]
Famille : [elle chante] On veut des bonbons. On veut des bonbons... Bonbons !
[La chanson s'arrête. Le public applaudit]
Hans Taupeman : Un poème, de Hans Taupeman. Je crois que je ne verrai jamais plus. Ma cataracte m'a fait perdre la vue.
Tim : Et on dit que je pue.
[Les Simpson se trouvent au final dans un grand lit]
Marge : Et bien l'heure est venue de se dire bonsoir.
Homer : C'est dommage que notre invité Tim Hannibal ait dû s'en aller si tôt.
[Il sort des draps]
Tim : Je suis encore là. La Fox a refusé de me payer une chambre d'Hôtel. [rires]
Marge : Il plaisante. Nous remercions la Fox et le personnel de l'Hôtel Econome.
Homer : Voilà cette fois l'émission est finie alors méditez l'adage de la famille Simpson tandis que tu marches que le chemin de la vie.
Bart : Je dis "Stop", ça va plus vite.
Tous : Bart !
Marge : C'est toujours comme ça avec les Simpson.
Tous : Bonsoir tout le monde.

SEQ 7 - INT/JOUR Musée de la télé et de la télévision :Troy : Ainsi s'achève notre présentation de séries dérivées, mais qu'en est il de la série qui les a inspiré ? Comment les Simpson peuvent-il être aussi drôles et inventifs après 8 longues années ? Et bien voici ce qui vous attend pour la neuvième année. [image de Homer transformant Lisa en crapaud] Pouvoirs magiques... [photo de Selma et Lenny en mariés] mariage, [photo de Selma et l'abeille espagnol] remariage [Selma et Itchy] et re-remariage. Et je ne vous parle pas des triplés qui auraient disparus [photo avec 3 Bart]. Alors, retrouvez la famille préférée de l'Amérique et un minuscule extra-terrestre vert nommé Ozmodiar que seul Homer peut voir sur votre chaîne préférée. Les autres seront verts de jalousie, pas vrai Ozmodiar ?
Ozmodiar : Aussi vert que moi, mon pote.
Troy+Ozmodiar : Bonsoir tout le monde.
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